Qu'est-ce que le contemporain, ethnocentrisme, Lévis Strauss, problèmes politiques et sociaux contemporains, monde globalisé, Durkheim, croissance de population, INSEE, capitalisme, anachronisme
On se pose la question de savoir quel lien il y a entre l'utilisation du mot contemporain comme adjectif qualificatif et l'usage du mot comme substantif ?
Le mot contemporain a deux sens comme adjectif :
– Le premier selon lequel « il existe en totalité ou en partie selon la même période qu'il existe ce produit en même temps qu'eux ». Dans cette première définition, il est dit que ce mot contemporain ne vaut que pour les êtres inanimés.
– La deuxième variante du sens contemporain est « qu'il appartient au temps actuel par rapport au moment envisagé dans le contexte et par extension qui est caractéristique du temps actuel ».
[...] La subversion On peut prendre l'exemple de l'entrée à l'Europe de la Turquie qui est considérée pour certains hommes politiques contraire aux valeurs de l'Europe qui est de nature chrétienne. Il s'agit de la peur de la subversion, c'est-à-dire l'idée qu'il y aurait un danger que nos valeurs se trouvent affectées par l'arrivée de populations ou de groupes politiques ou religieux ayant des valeurs différentes. La contamination Depuis deux ans enfants qui sont des réfugiés des guerres notamment de la guerre syrienne ont disparu. [...]
[...] Il faut donc adapter la production à la croissance de la population et il va inventer le concept de productivité, c'est-à-dire produire plus avec les mêmes moyens. Pour augmenter la productivité, on va favoriser la main d'œuvre. Il dit que l'État a pour rôle de faire des traités de commerce que le marché s'équilibre tout seul, il parle de main invisible du marché. Il écrit en 1759 un essai : la théorie des sentiments moraux où il explique comment les relations humaines se passent. [...]
[...] Dans les années 1970, la définition de la mort c'était le moment ou le cœur cessait de battre alors qu'aujourd'hui, on parle de mort cérébral. D. Le capitalisme Le but des sociétés capitalistes est de parvenir à la richesse la plus importante, et c'est Smith qui a théorisé cette idée au XVIII° siècle. Il explique dans son ouvrage de la richesse des nations que le but est de s'enrichir en étendant son territoire. On aura donc une population plus importante qui va travailler soit sous la forme d'esclavage, soit de servage soit d'ouvriers salariés. [...]
[...] Leurs intérêts sont donc contraires. Il parle alors de mettre en commun les moyens de production, de les collectiviser parce que selon lui si on supprime la propriété privée des moyens de production il n'y aura plus d'antagonisme de classes. Il faut alors faire un double travail et qu'il y ait des minorités agissantes, car les prolétaires doivent prendre conscience qu'ils forment une classe, c'est-à-dire des individus qui ont un même intérêt. Il faut alors qu'ils s'unissent en prenant conscience qu'ils forment un groupe, une classe en soi. [...]
[...] À cette même date est adoptée une première déclaration sur la race visant à nier la validité scientifique du concept de race. Il est expliqué en quoi la race est un faux concept au nom duquel on a exterminé des millions de personnes. De plus, après la 2de G.M, on constate que la notion de crime contre l'humanité ne peut pas rentrer dans la notion de crime de guerre. L'égocentrisme c'est un réflexe humain de comparer l'autre à soi même. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture