Cours d'Histoire de la pensée politique jusqu'en 1789. Ce cours vous sera très utile pour réussir vos exposés, vos études juridiques ou encore pour enrichir votre culture générale. Il retrace l'intégralité de la pensée politique de la Grèce antique jusqu'en 1789.
[...] la loi nationale n'est pas autre à Athènes et différente à Rome Et il oppose à la loi écrite, la scripta lex, la loi naturelle, la nata lex qui est la loi vraie, la loi de la droite raison qui est valable en tout temps pour tous les êtres humains, et elles ne peuvent pas être modifiées par le droit positif. Cicéron emprunte tout sa pensée à la Grèce et aux monarchies hellénistiques mais se rend compte que son idéal de régime mixte est un idéal perdu qui ne correspond plus à la société. Cicéron est un doctrinaire sans doctrine originale. Deuxième idée : apparaît chez Cicéron la théorie du princeps. [...]
[...] Référence à l'idée platonicienne de justice qu'il christianise. Si le pouvoir se renie, il se condamne à tous les excès s'il n'est plus lié à la justice. Que sont les empires sans la justice sinon de grande réunion de brigands Allégorie : Alexandre le grand rencontre un bateau pirate et Alexandre demande au pirate pourquoi il importune la mer ? Le pirate répond : pour les mêmes raisons que toi mais toi comme tu es empereur on dit rien. Le pouvoir est un ministère, un pouvoir service qui doit se plier à un triple devoir : - Le devoir de commandement qui n'admet ni la vulgarité ni la médiocrité. [...]
[...] Il ya deux penseurs : - Polybe qui est grec. - Cicéron qui est un penseur hellénisé. : Polybe (205-125). Historien grec venu à Rome comme otage et qui participe au cercle de Scipion et écrit Histoire Universelle dans laquelle Rome est au centre du monde parce qu'il existe la chance de Rome dans on régime qui est parfait. Polybe reprend l'analyse d'Aristote en disant que e partage entre aristocratie, démocratie et monarchie est tellement bien qu'on ne peut distinguer les trois régimes. [...]
[...] Donc le moyen-âge commence en 373 avec l'édit de Milan dans lequel Constantin reconnaît le christianisme. A partir de cette époque, deux protagonistes : le spirituel pérenne qui exerce une domination remarquable et le temporel. Chapitre 1 : Le christianisme et la cité de Dieu dans l'empire romain. Le christianisme s'est d'abord développé chez les juifs puis chez les gentils et en 64 après Jésus Christ. L'empereur Néron distingue les juifs des chrétiens en se livrant à la persécution. Le christianisme est tellement répandu que l'empereur Trageand l'interdit. [...]
[...] L'unité des grecs ne pourra se faire que de l'extérieur contre leur volonté et va se faire sous l'égide de Philippe de Macédoine qui en 337 à Corinthe se fait reconnaître comme Hégémon, comme général en chef des armées grecques et macédoniennes. Le rêve de Philippe sera réalisé par son fils Alexandre qui va conquérir les perses, helléniser l'Asie, unir le monde grec et oriental. Désormais le rôle de la cité semble achevé. Section 1 : Alexandre le Grand (356-323) et les monarchies hellénistiques. : Alexandre le Grand. Il réalise en une dizaine d'années une des aventures les plus prodigieuses car il conquiert la moitié du monde. [...]
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