Antiquité, pensée politique moderne, despotisme, Empire Byzantin, Empire romain, Hérodote, Kant, Grèce antique, démocratie athénienne, Anaximandre, Périclès, Cléisthène, philosophie politique, constitution romaine, Tables de la Loi, Platon, Aristote, Cicéron, Marc Aurèle, stoïcisme, Sénèque, théocratie, christianisme, monarchie de droit divin, église
La République romaine, qui a débuté avec l'éviction de Tarquin le Superbe en 510 av. J.-C. par Junius Brutus, représente une époque significative dans l'histoire de Rome. Cette période est caractérisée par une oligarchie dominante, malgré les aspirations populaires de la plèbe. Le régime romain de cette époque, tel que décrit par l'historien grec Polybe au IIe siècle av. J.-C., est un modèle idéal qui combine les éléments de la monarchie, de l'aristocratie et de la démocratie. Cette fusion unique se manifeste dans la constitution romaine, où la monarchie est représentée par les consuls, l'aristocratie par le Sénat, et la démocratie par les comices et les tribuns, garantissant ainsi la stabilité et la puissance de Rome.
[...] La direction de la cité, dans ses premières formes, était assurée par les Eupatrides avec des lois établies par Dracon. Solon, face à une crise économique et sociale, a joué un rôle crucial en abolissant la ploutocratie et en réorganisant la société en classes censitaires, basées sur la possession de biens. Ces réformes ont marqué un pas significatif vers une société plus équitable, jetant ainsi les bases de la démocratie telle que nous la connaissons aujourd'hui. Les réformes de Cléisthène vers 508 av. [...]
[...] Leur élection et leur responsabilité devant l'assemblée qui les élit sont des aspects fondamentaux de ce système. Des principes tels que l'annualité et la collégialité des magistratures préviennent l'accumulation de pouvoir personnel, tandis que la hiérarchie maintient l'ordre. La spécialisation des magistratures et leur gratuité sont au service de l'intérêt public, et l'édit du magistrat, publié à l'entrée en fonction, définit les règles à suivre. Cette structure républicaine assure un équilibre entre différentes formes de gouvernance, évitant les écueils de l'instabilité politique et contribuant à la durabilité de Rome. [...]
[...] Ces concepts, bien que toujours en évolution, restent fondamentaux dans notre compréhension contemporaine de la démocratie. C Synthèse et transition vers la philosophie politique La République romaine, qui a débuté avec l'éviction de Tarquin le Superbe en 510 av. J.-C. par Junius Brutus, représente une époque significative dans l'histoire de Rome. Cette période est caractérisée par une oligarchie dominante, malgré les aspirations populaires de la plèbe. Le régime romain de cette époque, tel que décrit par l'historien grec Polybe au IIe siècle av. [...]
[...] ont été d'une importance capitale pour la démocratie athénienne. Cléisthène, issu de la famille Alcméonide, a réorganisé l'espace civique et étendu la participation démocratique en échange du soutien populaire. Périclès, un stratège influent, a approfondi cette démocratie en introduisant le misthos, une indemnité quotidienne qui permettait même aux citoyens les plus pauvres de participer activement aux affaires de la cité. La citoyenneté athénienne, bien que restreinte, était une marque de distinction et d'engagement envers la polis. Pour y prétendre, il fallait répondre à des critères spécifiques, tels qu'être un homme de plus de 18 ans, fils de parents athéniens, et ne pas être un esclave, un barbare ou un métèque. [...]
[...] J.C., jettent les bases du droit romain, couvrant des domaines variés tels que la procédure civile, le droit de la famille, les successions, la propriété, les délits et les principes constitutionnels. Ce corpus juridique s'enrichit continuellement jusqu'à la fin de l'Empire, avec des contributions significatives telles que le Code Théodosien et le Code Justinien. Ces textes, piliers du droit romain, intègrent des décisions jurisprudentielles et influencent l'enseignement juridique jusqu'au 19e siècle. Le droit romain repose sur des principes fondamentaux, tels que le droit naturel commun à tous les êtres vivants, le droit civil reflétant les coutumes de chaque peuple, et le Droit des gens, basé sur la raison naturelle et universellement partagé. [...]
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