La peur de l'antisémitisme est une réalité qui est amenée à s'amplifier dans les prochaines années. En consultant les statistiques, j'ai noté que ces dernières années ont vu une augmentation sensible de l'émigration européenne vers Israël. J'ai donc essayé d'en savoir plus en consultant certains faits ayant pu provoquer ce mouvement d'ampleur.
Pour ne prendre que l'exemple de la France et de la Belgique, on constate que certaines personnalités publiques montent au créneau, soit pour dénoncer une présumée mainmise sociale par une communauté, soit pour illustrer leurs propos par toutes sortes de faits allant de la simple exagération à la stigmatisation quant à la proportion d'un certain groupe ethnique au sein des médias.
[...] Et surtout des territoires annexés, l'objectif premier étant la colonisation totale et la réunification de Jérusalem. A noter que durant la dernière décennie le nombre de personnes quittant Israël est longtemps resté supérieur à celui des nouveaux immigrants. Depuis peu on assiste au phénomène inverse. A présent avec la montée de l'antisémitisme, le phénomène semble s'accélérer allègrement. Au-delà des personnes innocentes tombées en Europe au nom d'une haine insaisissable, il semble qu'en regard des prolongements futurs de la problématique, l'autre victime de l'antisémitisme est le peuple palestinien et ses aspirations, qui non plus centrées sur le rêve d'un Etat, mais plutôt pour la survie d'un peuple privé de tout, même de dignité. [...]
[...] La réaction ne s'est pas fait attendre : un mur est érigé pour séparer les deux peuples. Le Hic : ce mur englobait nombre de colonies de la Cisjordanie, de fait annexées. Dans ses Mémoires, Golda Meïr parle la guerre d'octobre 1973 (nommée guerre du Kippour, car déclenchée le jour du Grand pardon, jour sacré choisi par les Arabes comme une réponse du berger à la bergère) et évoque ses propres larmes, car elle savait que les Arabes attaqueraient et n'y pouvait rien y faire : selon un accord élaboré par les Américains, les chefs d'Etat israélien, égyptien et syrien, les deux pays arabes devaient attaquer Israël par surprise, pour ensuite signer les accords de paix. [...]
[...] Aujourd'hui la Cisjordanie, dont l'appellation Les territoires par les Israéliens en dit plus qu'un long discours, n'est plus qu'une sorte de gruyère dont persistent quelques Bantoustans palestiniens disséminés au sein d'une Judée Samarie massivement colonisée Notons que le Sinaï est toujours sous souveraineté égyptienne de par les accords de paix entre l'Egyptien Sadate et l'Israélienne Golda Meïr Alors que la colonisation avait marqué le pas en raison des accords d'Oslo entre Clinton, Yitzhaak Rabin et Yasser Arafat, à l'issue de la conférence de Madrid en 1991, elle reprit de plus belle, après l'assassinat de Rabin par un de ses compatriotes. Aujourd'hui, le gouvernement israélien accélère le processus. En parallèle le gouvernement et les promoteurs annoncent régulièrement la construction de milliers de logements dans les territoires ou occupés. [...]
[...] L'antisémitisme nouveau est arrivé, pire nouvelle pour la Palestine La peur de l'antisémitisme est une réalité qui est amenée à s'amplifier dans les prochaines années. En consultant les statistiques, j'ai noté que ces dernières années ont vu une augmentation sensible de l'émigration européenne vers Israël. J'ai donc essayé d'en savoir plus en consultant certains faits ayant pu provoquer ce mouvement d'ampleur. Pour ne prendre que l'exemple de la France et de la Belgique, on constate que certaines personnalités publiques montent au créneau, soit pour dénoncer une présumée mainmise sociale par une communauté, soit pour illustrer leurs propos par toutes sortes de faits allant de la simple exagération à la stigmatisation quant à la proportion d'un certain groupe ethnique au sein des médias. [...]
[...] Sans aborder le l'évolution vers la radicalisation religieuse et le chaos au sein des Etats arabes limitrophes d'Israël, on notera une accélération de la colonisation dans les territoires occupés par Israël depuis 1967. Cette guerre avait duré 6 jours. La raison de la rapidité de cette guerre n'avait rien à voir avec la victoire de David contre Goliath. En réalité les stratèges israéliens préparaient cette guerre depuis des années. Elle avait été finalement déclenchée le soir même de la fête du Ramadan. Les militaires Egyptiens et Syriens buvaient alors le café et l'aviation des deux pays était alignée pour la parade. [...]
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