Pensée philosophique, philosophie politique, doctrine politique, Erich Fromm, Angenot, Olivier Nay, Weil, Leo Strauss, Raymond Aron, Rousseau, Voltaire, Machiavel, matrice émotionnelle, idée collective, légitimation des institutionns, croyance irrationnelle, idéologie, valeurs, réflexivité des sociétés, philosophie normative, sciences sociales, méthode de Skinner, onction politique, intégralisme, souveraineté, républicanisme, conservatisme, Révolution française, complotisme
Les idées inspirent les gens et vont construire leur vie, souder des communautés autour d'idéologie, de valeurs. Elles servent à légitimer des institutions. Mais les idées servent aussi à délégitimer des institutions (comme la philosophie qui a apporté par exemple de la monarchie, de la religion). Elles servent à désigner des amis / ennemis. Les idées ne sont pas nécessairement des idées rationnelles ou vraies. Ce n'est pas à nous de le dire : il faut restituer la façon de penser, de parler du passé.
[...] Mais si un peuple se choisit un Roi, cela suppose qu'il y ait un un corps politique préexistant. Ça suppose qu'il y a eu quelque chose comme une délibération collective pour s'en remettre à un roi pour décider qui était roi. Rousseau par exemple écrit : "avant donc que d'examiner l'acte par lequel un peuple est élit un roi il serait bon d'examiner l'acte par lequel un peuple est un peuple car cet acte étant nécessairement antérieur à l'autre est le vrai fondement de la société" traduction lecture ; il y avait déjà une convention entre les individus avant la royauté avant la désignation de la royauté. [...]
[...] Il doit aimer son peuple et avoir un rapport émotionnel avec celui-ci. Pour cela il propose de rétablir la figure du roi arbitre et reçoit son peuple lors des audiences. Il doit expliquer ses décisions afin que le peuple légitimise son pouvoir. Le roi agit pour son peuple et il est soumis à celui-ci ainsi qu'aux lois fondamentales du Royaume qui fondent la société. La royauté est un système qui doit servir le peuple et c'est un contrat horizontal entre le roi et le peuple. [...]
[...] Et l'usage de cette force crée nécessairement des conflits entre individus. Le droit naturel va produire une crainte universelle, une crainte permanente de mourir car les hommes sont dans un état de guerre permanent à la fois pour satisfaire leurs désirs mais aussi pour conserver leur vie. Dans cet état naturel il n'y a pas de droits de propriété les individus n'ont rien en propre et donc s'ils n'ont rien en propre, ils s'accaparent des choses successivement dans la violence ils ont donc potentiellement droit à tout, droit de tout prendre à l'autre mais finalement droit à rien. [...]
[...] -Le "devrait-être" vs l'empirique (sciences sociales) La philosophie dit ce qui devrait être alors que les sciences sociales disent ce qui est. Les sciences sociales comme les sciences politiques viennent en partie de la philosophie en enlevant la dimension subjective des philosophes. -Les réalités matérielles l'emporte sur les idées Leo Strauss (1899-1973) : "La philosophie politique se caractérise donc en premier lieu par un rapport à la fois nécessaire, indépassable et indéfiniment problématique avec les expériences et les opinions effectivement présentes dans la politique réelle de la cité". [...]
[...] Deux implications méritent d'être signalées : l'Etat ne saurait user de la contrainte afin d'obliger certains citoyens à venir en aide aux autres, ni en vue d'interdire aux gens certaines activités pour leur propre bien ou leur protection." Pas d'obligation d'aider les autres responsabilité de soi Un individu qui paie est "sacrifié" individuellement pour un bien général abstrait (sacrifier l'entité sociale) on ne devrait pas demander un sacrifice individuel mais collectif pour un bien collectif. Friedman échappe à la tyrannie des gouvernants : Seasteading. Seasteading : Installation de sociétés libertariennes sur le littoral, sur des îles en dehors des vieux Etats. [...]
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