Pouvoir, ville, groupe social, vie en communauté, autorité, éducation des citoyens, société gouvernée, gouvernement, aristocratie, démocratie, monarchie, État, classe sociale, lutte des classes, séparation des pouvoirs, Jean-Jacques Rousseau, équilibre social, Diderot, Thomas Hobbes, Montesquieu, Da Monzon
Les gens trouvent nécessaire de nommer l'un d'eux pour diriger la société. Depuis l'Antiquité, ils ont ressenti le besoin de s'unir pour protéger leurs intérêts et lutter contre les besoins de la nature, c'est-à-dire qu'une société (ville) est organisée et régie par des lois ou des règles que chaque membre d'un groupe ou d'une société doit respecter. Ainsi, selon les principes de la lutte, il arrive souvent que le plus fort s'empare du pouvoir et s'impose au faible comme le chef absolu. Cette façon d'accéder au pouvoir par la violence est une usurpation.
[...] Ainsi, selon les principes de la lutte, il arrive souvent que le plus fort s'empare du pouvoir et s'impose au faible comme le chef absolu : il fait un coup d'État en Afrique. Cette façon d'accéder au pouvoir par la violence est une usurpation. Selon que le pouvoir est basé sur la violence ou sur la justice sociale, nous avons les gouvernements suivants : Les différents gouvernements - Gouvernement républicain : C'est une forme de gouvernement dans laquelle le chef de l'État n'a pas le pouvoir exclusif. [...]
[...] Anarchie : caractérisée par le désordre créé par l'absence de pouvoir étatique. Ici la personnalité se caractérise par sa liberté, sa spontanéité. La notion d'État Un État est un gouvernement qui organise une nation, un groupe de nations. L'État est une minorité de personnes qui ont atteint un consensus, soit en imposant l'opinion publique. Mais très souvent dans la réalité pratique il y a la multiple agrégation : les infractions énormes des possédants, sinon des détenteurs de l'État (ceux qui dirigent, exercent le pouvoir comme bon les semble). [...]
[...] Nian à propos de cet ancien dictateur : « Il est plus facile de prendre le pouvoir que de le garder . Il n'y a pas de place pour deux rois autour de la calebasse de riz . Le pouvoir fait sa propre loi, et le pouvoir ne tolère aucune division », p. : 115, de l'épopée Mundine . Quelques citations sur le concept de pouvoir Jean-Jacques Rousseau écrivait : "Le pouvoir est la volonté générale dirigée vers l'équilibre social et le bien-être complet et durable." DENIS Diderot écrit dans une encyclopédie : « Le consentement des hommes assemblés en société est la base du pouvoir. [...]
[...] Les gens et les villes : le fondement du pouvoir La ville originelle (i.e.) désigne un lieu où une communauté ou un collectif bien distinct suit des lois (règles), des principes bien établis. Aujourd'hui, il peut désigner une ville où la vie est régie par des règles ou des lois, en un mot, une vie organisée. Une ville est une unité territoriale et politique composée en général, par la ville et sa campagne environnante. Ainsi, la vie en communauté exige que chacun ait des droits et des devoirs, sans quoi la vie sociale serait déséquilibrée. [...]
[...] Thomas Hobbes écrit : « Le contrat implique la soumission de tous à l'État. Nous nous sommes réunis pour vivre ensemble dans une société pacifique où l'ordre imposé par l'État supprime la domination et l'arbitraire. Montesquieu : « Pour prévenir les abus de pouvoir, il faut qu'après l'ordre des choses le pouvoir arrête le pouvoir. Da Monzon, roi de Segu, disait : « Toute force est fragile, comme un œuf : trop serré, cassé, tenu négligemment, tombe et se brise. [...]
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