Combat, affirmation de la liberté, politique, Montesquieu, Rousseau, avénement du peuple dans la nature politique, Siècle des lumières
Le siècle qui suit, le XVIIIe siècle, sera le Siècle des lumières. Après précisément l'affirmation de l'autorité des états va se faire jour un nouveau courant de philo pol, Aufkälung et les lumières. Les lumières sont déf par Kant dans un petit opuscule qu'il publie en 1784, les lumières c'est sortir de l'état de minorité pour l'homme. Il déf les lumières avec Sapere Aude, qui pourrait se traduire par « Ai le courage de te fier à ton propre entendement. ». Cela est l'affirmation de la liberté, de se sortir de l'état de dépendance, de l'état de minorité entendu comme minorité politique. Etre sujet, c'est être un éternel incapable.
[...] En revanche, pour des charges publiques comme chef militaires, is doivent etre élus. On a ici un système sans traduction contemporaine mixte. Il tire à la fois du mécanisme du tirage au sort et celui de l'élection. Mais M explique qu'a proprement parler, l'élection ne procède pas d'une caractéristiques démo mais procède d'une caractéristiques oligarchiques. Il faut ensuite voir le principe. Ce principe pour M est a vertu. Cad que pour qu'un régime de ce type perdure, il faut nécessairement pour M qu'il y ai un haut degré d'exigence au lvl civique. [...]
[...] M va se tourner dans un premier temps vers un examen des structures pol. Il nous explique dans cette théorie des gouvernements que tout régime pol a à la fois une nature et un principe auquel son système de loi est relié. On connait la nature du régime politique lorsqu'on sait qui gouverne et comment il le fait. Les passions qui lui permettent d'etre pérenne sont du ressorts du principe du gouvernement pour M. M abandonne la classification trad établie depuis Aristote, tripartie distinguant la démo de l'aristo de la monarchie. [...]
[...] C'est l'honneur qui empêcherait le despotisme. On peut se demander si ou gouvernement dont le principe apparait si subtil ne se voit pas constamment guetter par la corruption. la tache du prince de Machiavel comparé à celle qu'assigne au monarque M dans l'esprit des lois, car le monarque est tenu de refuser au despotisme et tout ce qui pourrait mener à lui. M les monarchies se corrompent lorsqu'on note peu à peu les prérogatives des corps ou les privilèges des villes. [...]
[...] R partage avec H l'affirmation Hobbesienne qui est anti aristosienne, l'homme n'est pas naturellement sociable ou politique. L'homme n'est pas naturellement mauvais chez ici bon sauvage ne fait pas œuvre de moral, il n'est pas bon en soit, moralement parlant parce que la morale comme le droit articule et produit des normes. L'homme à l'état de nature évite ces semblables. Cet homme naturel n'a que peut de différence pour R avec les animaux, définit comme se contentant de ces besoins primaires, manger, boire, se reproduire mais pas naturellement sociable. [...]
[...] C'est un faux contrat social de l'absolutisme. Pourquoi ce contrat est injuste ? Parce que pour mettre fin à cette guerre institué par le conflit, le contrat cristallise les terres accaparé par les uns et les institue comme droit à la propriété privée. Et de cette inégalité va jaillir la fin de la liberté parce que celui qui n'a rien ne peut que se vendre pour travailler. Comment sortir de l'état social illégitime ? Une société politique doit être fondée par un principe de légitimité, structuré juridiquement par une loi. [...]
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