Baruch Spinoza a beaucoup oeuvré pour la stabilité politique de l'Etat en tout point de vue. Ainsi dans son
[...] Sous une tyrannie, il est donc impossible de mettre en exécution son droit de s'exprimer et d'avoir une opinion. Dès lors l'Homme, parallèlement au droit d'agir auquel il doit en parti renoncer, ne pourrait vivre en paix. Il serrait continuellement dans la crainte et redescendrait à un état primitif assurant seulement les besoins qui lui sont primaire tel que la sécurité, besoins du à la société par l'Etat. Ainsi si ce droit de raisonner et de juger doit être retiré à la société, l'Etat n'a plus aucun intérêts car il n'assure plus les fonctions pour lesquelles il à été formé. [...]
[...] Le philosophe en témoigne en utilisant le décret. Effectivement décréter, ce n'est rien autre qu'imposer sa propre volonté par l'intermédiaire de la loi. Il faut donc que tout pouvoir de décréter soit retirer à l'individu et soit attribué à l'Etat. On entend par pouvoir de décréter la possibilité d'imposer aux autres sa volonté grâce à l'installation de plusieurs lois. Dans l'optique de la mise en place d'un Etat, une partie de ce pouvoir doit être abandonné par tout individu afin d'être distribué à cet Etat qui a été désigné comme capable de diriger la société qui l'a choisi en utilisant la Raison. [...]
[...] Il annonce alors que l'homme est incapable de vivre à l'état de Nature en se gouvernant soi-même grâce a des lois qu'il se serrait lui-même prescrite et donc ne sachant parl[er] d'une seule bouche il se doivent d'abandonner une parti de ce droit d'agir sinon la paix au sein de toute société serrait impossible car l'homme suit son libre jugement. Ceux-ci étant très diversifiés on peut dire qu'ils ont tous des fins différentes. On assisterait alors à des conflits sans fin. Ainsi, il faut abandonner un parti de notre droit d'agir afin que l'Etat puisse pleinement exercer son devoir. [...]
[...] Ainsi Spinoza nous montre à tous que pour qu'un Etat, tel qu'il soit fonctionne, il est nécessaire que celui-ci connaisse la critique afin que ses torts soient mis à jour et réparer. Il ne faut cependant pas utiliser ce droit de critique à des fins autres que raisonnables dans quel cas elle est tout à fait inutile sachant que l'Etat représente en quelque sorte la Raison. Du moins elle représente son objectif. [...]
[...] Il faut donc, dans un but commun faire entendre son droit de critique de l'Etat. Cependant, des conditions sont fixées. Et cela afin que cette liberté n'aille pas au-delà de l'expression et de l'enseignement c'est-à-dire l'objectif de convaincre l'autre par une argumentation qui lui apporte quelque chose en plus. Ainsi, l'expression de cette opinion envers l'efficacité de l'Etat doit être hardiment défendue et comme le dit Spinoza par la Raison seule Il veut dire par là qu'étant donné que l'Homme ne peut se résoudre à vivre dans l'état de Nature car seulement dirigé par son bon plaisir, il doit se soustraire à une autorité supérieure capable de le ramener à la Raison. [...]
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