Souveraineté, Du Contrat social, Livre III, chapitre XV, Jean-Jacques Rousseau, parlementarisme, pouvoir exécutif, pouvoir législatif, députés, représentants, séparation des pouvoirs souple, régime parlementaire, séparation des pouvoirs, service du peuple, souveraineté parlementaire, principe de la représentation, souveraineté populaire, peuple, citoyens, représentant, volonté générale, Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789, État, majorité, référendum, élection, loi, liberté, puissance législative
Ce texte est un extrait du livre III, chapitre XV (Des députés et des représentants) issu Du Contrat social, un ouvrage de philosophie politique écrit et pensé par Jean-Jacques Rousseau puis publié en 1762. Dans cet ouvrage, son auteur met en avant des notions comme la souveraineté, mais aussi la liberté et l'égalité, mais lors de sa publication l'oeuvre est d'abord censurée. Dans cet ouvrage Jean Jacques Rousseau, un philosophe du XVIIIe siècle, propose une réflexion sur la place du peuple dans l'État.
L'extrait du texte fait référence à la notion de parlementarisme. Cette notion implique une primauté du pouvoir législatif sur le pouvoir exécutif, mais aussi une séparation des pouvoirs souple. Le parlementarisme peut se traduire par la mise en place d'un régime parlementaire fondé sur une séparation souple des pouvoirs, contrairement au régime présidentiel où la séparation est stricte. Dans le régime parlementaire, le Gouvernement qui incarne le pouvoir exécutif peut être renversé par le Parlement devant lequel il est politiquement responsable. Les membres du Gouvernement ne sont pas élus, mais sont issus de la majorité parlementaire à laquelle ils doivent leur pouvoir.
[...] Chaque partie du peuple doit viser l'intérêt général, qui se distingue par la volonté particulière, par laquelle chaque individu recherche son bien personnel. À titre d'exemple, si un membre du peuple voter en visant son intérêt personnel privé, alors il trahira la volonté générale. Cette notion de volonté générale se traduit par le contrat social qui veut que chacun cherche constamment le bonheur de chacun . De plus, personne ne peut s'emparer de la volonté générale, celle-ci ne peut se faire à travers des représentants du peuple. [...]
[...] Ces consultations populaires sont organisées en général quatre fois par an au niveau fédéral. La démocratie directe est un atout pour la Suisse, car elle influence tout le système politique qui pousse les autorités à chercher un consensus et à faire des compromis très tôt dans le processus de décision, pour éviter qu'une loi soit attaquée en référendum. La représentation du peuple par des représentants peut se faire, mais peut aussi être atténuée par une forme de démocratie directe en impliquant davantage le peuple dans la prise de décision pour lui-même. [...]
[...] Cependant, la souveraineté populaire suppose la présence active et régulière des Citoyens. Or celle-ci est difficile pour les paysans éloignés de la Ville ou pour ceux qui ne peuvent se permettre de perdre une journée de travail, dans le cadre de la démocratie athénienne. De plus, pense être libre ; il se trompe fort, il ne l'est que durant l'élection des membres du Parlement ; sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien . En effet, Rousseau semble être opposé à la démocratie représentative, car elle rendrait le peuple esclave de ses représentants. [...]
[...] Rousseau Jean-Jacques, Du Contrat social, livre III, chapitre XV Ce texte est un extrait du livre III, chapitre XV (Des députés et des représentants) issu Du Contrat social, un ouvrage de philosophie politique écrit et pensé par Jean-Jacques Rousseau puis publié en 1762. Dans cet ouvrage, son auteur, met en avant des notions comme la souveraineté, mais aussi la liberté et l'égalité, mais lors de sa publication l'œuvre est d'abord censurée. Dans cet ouvrage, Jean Jacques Rousseau un philosophe du XVIIIème siècle, propose une réflexion sur la place du peuple dans l'Etat. [...]
[...] Le principe de la représentation : le régime parlementaire). Cependant, la représentation du peuple ne peut se faire par les députés du peuple (B. Le pouvoir des représentants du peuple : le mythe de la volonté générale). Le principe de la représentation : le régime parlementaire Pour Rousseau, La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée . En effet, ici la souveraineté est populaire son titulaire en est le peuple, qui en détient une fraction ou la totalité. [...]
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