Dans l'Égypte ancienne, les chats étaient considérés comme des animaux sacrés qui étaient les représentants sur terre de la déesse de la fertilité et des plaisirs de la vie, Bastet. Les vivants souhaitant faire des offrandes à la déesse le faisaient par l'intermédiaire des félins en leur apportant les meilleurs poissons qu'ils trouvaient. De plus, les chats avaient, selon les écrits d'Hérodote, un pouvoir pour éteindre les incendies, donnant ainsi leur vie pour en sauver d'autres (...)
[...] Si cela est un peu gênant matériellement, les auteurs apprécient souvent cette présence discrète sur leur table d'écriture. Nul doute que ce plaisir à entrer en contact avec le papier a étonné les auteurs. Edmond Rostand, dans son poème Le Petit Chat, le compare à un presse-papier et l'invite dans la dernière strophe à s'installer. Il est probable que le chat ait provoqué l'écriture de ce poème, imposant sa présence sur le bureau de son auteur. C'est un petit chat noir, effronté comme un page. Je le laisse jouer sur ma table, souvent. [...]
[...] This cat seems mysterious, disturbing but however precious because he helps and steers Alice in the Wonderland. The cat is here halfway between the devil and the god, helping Alice only indirectly and making reign in the discord the court of the Queen by playing his invisibility mercredi 4 février 2009 TPE de Piupew In an opposing way, the cat is a devil door-misfortune accomplished in The Black Cat by Edgar Allan Poe, reappearing after he has been killed by the narrator. [...]
[...] Les Plus Belles Histoires de Chats. Edito. Pré aux Clercs NAVARRE, Yves. Une Vie de chat. Edito. H&o BUFFON. Histoire naturelle. Edito. Gallimard mercredi 4 février 2009 TPE de Piupew BALZAC, Honoré de. [...]
[...] Le jeune homme n'aimait pas les chats, François l'effrayait presque. Dans cette heure de fièvre et de crainte, il crut que le chat allait lui sauter au visage pour venger Camille. Cette bête devait tout savoir : il y avait des pensées dans ses yeux ronds, étrangement dilatés. Laurent baissa les paupières, devant la fixité de ces regards de brute. Comme il allait donner un coup de pied à François : Ne lui fais pas de mal s'écria Thérèse. Ce cri lui causa une étrange impression. [...]
[...] Je ne connaissais plus la béatitude du repos, ni le jour ni la nuit! Durant le jour, la créature ne me laissait pas seul un moment; et, pendant la nuit, à chaque instant, quand je sortais de mes rêves pleins d'une intraduisible angoisse, c'était pour sentir la tiède haleine de la chose sur mon visage, et son immense poids, incarnation d'un Cauchemar que j'étais impuissant à secouer, éternellement posé sur mon cœur ! Bernard Werber fait du chat un médiateur entre le monde des vivants et l'au-delà dans L'Empire des Anges. [...]
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