Poésie, prose, rime, vers, verset, Alfred de Musset, Gérard de Nerval, Victor Hugo, Aragon, Paul Valéry, La Fontaine, diérèse, césure, haïku, blason, Max Jacob, sonnet
Ces 4 exercices corrigés vous permettront d'approfondir vos connaissances en matière de poésie.
[...] - Dans cet extrait du poème de De la Fontaine, il y a 2 vers avec respectivement 12 et 10 syllabes. Chaque vers est composé de 4 mètres de 3 syllabes chacun, ce qui donne un total de 22 syllabes pour l'ensemble du poème. Dans ce dernier extrait de De la Fontaine, il n'y a pas de rejets, de contre-rejets ou d'enjambements. III. Exercice 3 - Distinguer des formes poétiques et des rimes L'extrait du poème « Sourcil qui rend heureux les plus hardis » de Maurice Scève est une forme poétique appelée blason. [...]
[...] C'est un tout petit homme : une poupée n'est pas plus minuscule. Il se traîne sur les genoux : il a honte, on dirait . ? Non Il est rhumatisant. Une jambe reste en arrière, il la ramène Où va-t-il ainsi ? Il sort de l'égout, pauvre clown. Personne n'a remarqué ce crapaud dans la rue. Jadis personne ne me remarquait dans la rue. Maintenant les enfants se moquent de mon étoile jaune. Heureux crapaud Tu n'as pas l'étoile jaune. [...]
[...] Initiation à la poésie I. Exercice 1 - Identifier les types de vers et repérer les pauses 1. Il était morne et soucieux ; D'une main il montrait les cieux, Et de l'autre, il tenait un glaive (Alfred de Musset) - 22 syllabes 2. Il voulait tout savoir mais il n'a rien reconnu (Gérard de Nerval) - 13 syllabes 3. Il fut héros, il fut géant, il fut génie (Victor Hugo) - 12 syllabes 4. Ce toit tranquille où marchent des colombes. [...]
[...] Jadis personne ne me remarquait dans la rue. Maintenant les enfants se moquent de mon étoile jaune. Heureux crapaud Tu n'as pas l'étoile jaune. ». Alors que les vers 6 et 7 reprennent quasiment les mêmes mots, ils s'opposent dans leur signification. Pour le poème de Sedar Senghor en prose, tout se joue dans les mots employés les allitérations de certains mots tels qu'été, l'utilisation de sons vocaliques qui permettent d'accentuer la poésie tels que « lumière », « temps » et « supporter ». Pour le poème d'Hélène Dorion montre des jeux de sonorité particulièrement jolis à entendre avec la répétition du mot « parce que » qui permettent de marquer une justification empreinte d'émotions, des allitérations avec les mots « souffle » ou « feuillage » qui montre la poésie de la nature. [...]
[...] Plus ne peux supporter la lumière de minuit. La splendeur des honneurs est comme un Sahara. Un vide immense, sans erg ni hamada sans herbe, sans un battement de cils, sans un battement de c?ur. Donc vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et les yeux grands ouverts comme le Père Cloarec. Crucifié sur la pierre par les païens de Joal adorateurs des Serpents. Dans mes yeux le phare portugais qui tourne, oui vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Une mécanique précise et sans répit, jusqu'à la fin des temps. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture