Lecture cursive Driss la civilisation de ma mère
Premier extrait : Le Prologue.
Deuxième extrait : « Le téléphone » ( De « En 1940, quand on nous installa le téléphone, […] » jusqu'à « Mon père régla la communication. Il paya sans y faire allusion toutes celles que maman obtint par la suite »)
[...] C'est ce qu'elle va faire grâce à ses deux fils (l'auteur et son frère). La chanson répète « on est bien peu de choses ». C'est en effet ce qu'il faut retenir : on est bien peu de choses, alors il faut vivre, s'épanouir, et gagner sa liberté, pour avoir au final la sensation de ne pas avoir vécu pour rien, et avoir l'impression d'avoir apporté sa petite contribution de la lutte pour l'égalité entre les hommes et les femmes. [...]
[...] La Civilisation, ma mère Driss Chraibi Premier extrait : Le Prologue. Musique choisie : https://www.youtube.com/watch?v=rucmmUkGknc J'ai choisi d'associer à ce prologue la chanteuse marocaine Oum avec sa chanson « Lila ». Oum est une chanteuse très populaire actuellement, qui porte la voix de la femme arabe et de la femme en général à travers le monde. J'ai d'abord aimé les sonorités de la chanson et j'ai eu l'impression d'y retrouver ce que Driss Chraibi décrit dans le prologue, c'est-à-dire une douceur et une lenteur qui, je trouve, correspondent parfaitement à la vision paradisiaque qu'à l'auteur de son pays, autrefois, un « arbre de roc, la montagne plongeant abruptes ses racines dans les entrailles de la mer ». [...]
[...] Il paya sans y faire allusion toutes celles que maman obtint par la suite ») Musique choisie : « Mon Précieux », chanson du groupe Soprano : https://www.youtube.com/watch?v=OVmfGb8XKSg Ce choix peut paraître surprenant au premier abord. Mais le livre de Driss Chraibi est placé sous le signe de l'humour, un humour tendre envers sa mère qui va peu à peu s'ouvrir à la civilisation et s'émanciper. C'est la première raison pour laquelle j'ai choisi cette chanson. De passage du livre sur la découverte de la mère du téléphone est un passage drôle et décalé. [...]
[...] Le rapport magique qu'entretient la mère de l'auteur avec le téléphone est mis en relief par cette chanson qui montre aussi l'évolution qu'il y a eu, depuis l'invention du téléphone, jusqu'à aujourd'hui, où le smartphone est devenu un outil quasiment « greffé » à l'homme. Troisième extrait : page 83 à 85 (chez Gallimard, « Folio »): De « Habituée à compter sur ses doigts » jusqu'à « si une simple lance de pompier pouvait éteindre un incendie ». Pour cet extrait, j'ai choisi la chanson « Mon Amie la Rose ». Il y a eu beaucoup de versions de cette chanson. [...]
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