Les Fleurs du Mal, Alchimie de la douleur, Baudelaire, Spleen, poésie, liberté, angoisse, douleur, chagrin, idéal baudelairien
Cet extrait se nomme "Alchimie de la douleur". Il a remanié avec la douleur et le chagrin à cause d'un procès pour immoralité et atteinte à la valeur morale. Il l'a publié en 1861, en ajoutant 81 poèmes qui sont tout autant problématiques. Charles Baudelaire est parti des précurseurs du mouvement du symbolisme, du romantisme et du parnassien.
[...] Les deux derniers vers font référence au travail du poète: le Symbolisme, il voit le monde pas comme nous et il le voit très facilement. C'est un art poétique: un travail d'un poète qui évoque le travail d'un poète. Il a fait une Ode : une expression de la sérénité. Conclusion: Ce poète montre la puissance du poète qui est capable comme un oiseau de comprendre le monde et de dépasser ses angoisses. Nous pouvons donc continuer notre analyse avec un poème de Baudelaire "Spleen" qui évoque au contraire son état d'angoisse. [...]
[...] Le "poids" de celles-ci et " l'existence brumeuse" est le contraire du "feu clair" dans la troisième strophe. Il veut faire comprendre qu'il est à la recherche de la sérénité. L'adjectif qualificatif épithète liée "vaste" vient intensifier la charge, elle vient écraser le poète. Il existe une métaphore de l'oiseau "aile vigoureuse". Selon Baudelaire, le bonheur c'est lorsqu'une personne arrive à se détacher de ses angoisses. Il n'y a pas de répétition mais des propositions juxtaposées "Heureux celui qui peut d'aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins . [...]
[...] Les Fleurs du Mal, Alchimie de la douleur - Charles Baudelaire (1857) - Comment le poète exprime son envie de s'évader ? - Oral Littérature Introduction: Bonjour madame, aujourd'hui je vais vous présenter un extrait du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire paru pour la première fois en 1857. Cet extrait se nomme "Alchimie de la douleur". Il a remanié avec la douleur et le chagrin à cause d'un procès pour immoralité et atteinte à la valeur morale. [...]
[...] On détecte des verbes de mouvement "te meus" et sillones" et le sujet est son esprit "mon esprit". Il personnifie son esprit, il dit qu'il bouge comme un humain et avec le complément circonstanciel de manière "agilité", il parle à lui-même. Il existe une comparaison avec son esprit et un bon nageur qui est dans la mer "onde", cela indique que celui-ci est heureux, une sorte de jouissance. L'adverbe "gaiement" et "volupté" vient confirmer le fait que son esprit est heureux. [...]
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