Anthologie en poésie sur le thème de la jeunesse : "L'âge où tout est possible"Préface8 poèmes sur le thème de la jeunesse (biographie de chaque auteur + explication de chaque poème)
[...] Il y a de nombreux impératifs et d'exclamations, aux débuts des vers 17 et 18, et à la fin des vers et 20, pour convaincre l'enfant de profiter et de ne pas perdre son temps. Il dit aux enfants qu'il y a souvent des malheurs qui arrive par la suite et que c'est bien malheureux de grandir. Il dit aussi que les enfants sont plein d'innocence et de paix, et que leur âme est pure (vers 19-20). Gérard de Nerval est né en 1808. En 1824, il publie son premier recueil, Poésies et poèmes par Gérard L. [...]
[...] Après la « Bataille d'Hernani » au côté de Théophile Gauthier, vers 1830, il publie Odelettes. Dès 1841, il fait des hallucinations et des crises de folie. Il les utilise pour s'inspirer dans ses livres. Il voyage beaucoup notamment en Orient en 1843 pendant plus d'un an. Après son voyage, il travaille pendant 10 ans dans le journalisme et l'édition. En 1854, il publie Sylvie, les Filles du feu et les Chimères. Il meurt en 1855, pendu à une grille de fer à Paris. [...]
[...] Il parle du passé, car c'est en fonction de ses actes qu'on le juge et qu'en fonction de son jugement, il saura son destin : paradis ou enfer. Il fait aussi référence aux enfers au vers 11, car il parle de la « descente » qui est sûrement celle de la descente aux enfers. Il parle aussi d'une « vieille femme » qui serait certainement sa mère quand il est mort car il précise qu'elle est au pied de son lit comme une femme pleurant son enfant décédé. [...]
[...] Il fait partie du romantisme. Les caractéristiques du romantisme sont l'expression des sentiments, l'attirance pour le mystère et le sacré et le goût pour l'histoire, le passé et l'exotisme. Une allée du Luxembourg 1 Elle a passé, la jeune fille Vive et preste comme un oiseau À la main une fleur qui brille, À la bouche un refrain nouveau C'est peut-être la seule au monde Dont le cœur au mien répondrait, Qui venant dans ma nuit profonde D'un seul regard l'éclaircirait Mais non, - ma jeunesse est finie Adieu, doux rayon qui m'as lui, - Parfum, jeune fille, harmonie . [...]
[...] Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courage Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout Remuez votre champ dès qu'on aura fait l'Oût. Creusez, fouiller, bêchez ; ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. Le père mort, les fils vous retournent le champ Deçà, delà, partout ; si bien qu'au bout de l'an 15 Il en rapporta davantage. D'argent, point de caché. Mais le père fut sage De leur montrer avant sa mort 18 Que le travail est un trésor. [...]
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