Anthropologie, Maison, intimité, lieu d'enracinement, lieu de complaisance, rappel au souvenir, lit, objets, envies, désir, origines, repères
La maison, une racine ancrée en nous. Le thème de cette synthèse, « dans ma maison », est un thème très large, nous allons donc nous concentrer sur une petite partie qui est l'intimité.
L'intimité est ce qui est intérieur et secret. Un lieu ne nous est pas rattaché, il est possible pour nous de vivre sans maison, mais dans certaines conditions, on a du mal à « partir ».
Alors on peut se demander dans quelle mesure la maison est un lieu d'enracinement. De nombreux documents vont nous aider à répondre à cette problématique, dont un essai qui témoigne sur la vie au couvent (« Manuscrit de jeunesse ») de George Sand, un document littéraire (« L'Odyssée ») d'Homère, un récit autobiographique (« Dans les forêts de Sibérie ») de Sylvain Tesson et une illustration (« Maisons-racines ») de John T. Takai.
[...] Dans ses conditions, notre personnage s'approprie le milieu (cabane), il le « modifie » pour qu'il réponde à ses besoins. D'une certaine façon, pour que l'on soit heureux, on a besoin d'une maison qui corresponde à nos envies, nos désirs (nos nécessités). II. Une nécessaire intimité Au fil du temps, on s'attache au milieu qui préserve notre intimité, qui l'a protégée. D'une certaine façon, la maison construit notre intimité, le temps l'aide dans cette voie. La maison est le lieu où l'on s'enracine. On y trouve notre personne, nos origines, nos repères . [...]
[...] Dans quelle mesure la maison est-elle un lieu d'enracinement ? La maison, une racine ancrée en nous. Le thème de cette synthèse, « dans ma maison », est un thème très large, nous allons donc nous concentrer sur une petite partie qui est l'intimité. L'intimité est ce qui est intérieur et secret. Un lieu ne nous est pas rattaché, il est possible pour nous de vivre sans maison, mais dans certaines conditions, on a du mal à « partir ». Alors on peut se demander dans quelle mesure la maison est un lieu d'enracinement. [...]
[...] On le voit clairement aussi dans le doc.3 où une personne arrive dans un nouveau milieu et amène avec lui des objets qui l'aident à être heureux dans tous les milieux, il transporte avec lui son intimité. Son intimité est construite et matérialisée par ses objets qui l'accompagnent. Il cherche un lieu qui lui ressemble sans pour autant rompre avec la modernité. Il arrive à s'approprier cette cabane, on adapte le lieu à nous. III. Le symbole des origines L'intimité reste dans le temps. [...]
[...] Les souvenirs passés du personnage sont présents dans ces objets. L'intimité est donc un moyen de préserver ses origines, de les protéger. Plusieurs mesures sont en place pour que la maison soit un lieu d'enracinement. Ce processus est naturel, tout le monde a besoin de son intimité pour être heureux, d'avoir un endroit pour soi. Il faut que l'on s'y sente bien. L'enracinement se fait avec le temps et les souvenirs (marques, traces) qu'on y laisse ; elle nous permet de nous rappeler de notre passé. [...]
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