Poésie, française, XXe siècle, surréalisme, auteurs, poètes, Arthur Rimbaud, Baudelaire, autobiographie, symbolisme, figure du moi, représentation poétique
Dès lors, on constate, et notamment à travers la poésie rimbaldienne, une différence irréductible entre d'une part la poésie et d'autre par les autres genres autobiographiques : il y a dans la poésie une esthétique et une recherche du "je" qui diffère des autres genres narratifs ; le procédé narratif étant lui-même fait différemment, puisque le poète cherche à rendre sa biographie universelle par la création, terme dont la poésie en retire une descendance étymologique.
[...] Introduction pour un mémoire sur la poésie française au XXe siècle Accroche et contexte : poètes du XXe siècle « Je sens à travers ma diversité́ une constance et cette constance est toujours moi. ». Par ces mots, l'écrivain et chef de file du mouvement surréaliste André Gide explore la diversité de l'indenté chez l'individu comme une matérialisation de sa façon d'appréhender le monde et soi-même. En d'autres termes, je serais un autre. C'est, de cette identité malheureuse et tourmentée reprise par tous les auteurs du XXe siècle en France, de Gide à Derrida en passant par Sartre et Camus, Yourcenar et de Beauvoir, une façon de s'interroger sur sa propre condition physique en la bousculant dans le plus profond de son existence : elle n'est pas unique. [...]
[...] Revue de Littérature Comparée Jackson, J. E. (2002). Le Jeu des voix : de l'interpellation" et de quelques autres formes énonciatives dans" Les Fleurs du Mal. L'Année Baudelaire 69-87. [...]
[...] Nous verrons en ce sens dans un premier temps comment le lyrisme poétique peut être une expression que l'on voit transposée d'une subjectivité de l'auteur. Une deuxième partie sera l'occasion de voir dans le « dérèglement de tous les sens » une invention de la vie poétique. Enfin, une troisième partie sera l'occasion de la rappeler les mots de Rimbaud : « je est un autre » et y confondre ses vies poétiques. Premiers éléments biographiques : Braud, M., & Hugotte, V. (2007). L'irressemblance: poésie et autobiographie (Vol. 24). Presses Univ de Bordeaux. [...]
[...] Chisholm, A. R. (1930). " Moi qui trouais le ciel . » (Note sur l'esthétique de Rimbaud). Revue d'Histoire littéraire de la France, 259-264. Étiemble, R. (1939). Le mythe de Rimbaud. [...]
[...] Dans l'œuvre de Rimbaud, cette influence du moi comme une figure lyrique est renforcée par l'aspect mythique de l'auteur, véritable écrivain-poète-aventurier dont la relation avec Verlaine, et comme l'illustre l'évènement du Le 10 juillet 1873, a joué sur le déploiement d'un mythe de l'auteur dans le cas de Rimbaud. Dès lors, il s'agirait de s'appuyer du corpus les Poésie et Une saison en enfer pour comment la question de la représentation poétique de la vie. Problématique et annonce du plan Dans ces conditions, en quoi la construction d'une figure du moi à travers une poésie poétique permet de comprendre la représentation poétique de la vie dans l'œuvre rimbaldienne ? [...]
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