"Il savait modérer ses passions."==> Zadig a les valeurs d'un philosophe des Lumières (comme Voltaire).
Zadig va se battre contre plein de choses, mais son vrai combat est contre l'Obscurantisme (exemple : le médecin au début qui dit que l'oeil gauche est incurable sans le prouver, Zadig guérit, et les gens ne réagissent pas et continuent d'être fascinés devant le médecin. C'est plus de la sorcellerie, de l'irationnel que de la médecine avec des démonstrations scientifiques).
Zadig va éclairer le monde, faire ressortir la vérité par le biais de son cerveau, de la raison.
Le Borgne : quelqu'un qui n'a plus qu'un oeil. Dans ce livre là, dans le monde qui nous entoure, on cherche à aveugler les gens, à obscurcir leur regard, à leur cacher la vérité.
[...] (Il ne parle pas de cette manière habituellement). Empirisme : ce qui repose sur les faits, quelque chose de concret. Les expériences que Zadig va vivre vont le fair évoluer au cours de l'histoire : livre d'apprentissage. Construction du commentaire : Axes : Ce texte est avant tout un conte oriental Ce texte est aussi une satire de la justice Ce texte est surtout un art de penser (Lumières) Apprentissage : Zadig ne dirait plus ce qu'il avait vu. (Evolution du personnage au cours du livre) Chapitre Zadig propose une solution à cette histoire de griffons, et Yébor (qui fait référence à l'ennemi de Voltaire Boyer qui avait fait un discours contre lui à l'Académie Française : Anagramme), lui cause des problèmes. [...]
[...] Conte : passé simple/imparfait, gentil triomphe, ça se passe en orient, effets de surprise concurants serieux, Zadig le 4e qui remporte le prix), on essaie de plaire au lecteur. Présent de vérité général, aspect générique (l'ensemble des courtisants, la mère, le fils etc . propre à la philosophie Question posée au lecteur : Quel candidat mérite le prix ? Conte Conte philosophique Une critique (des courtisants, et du roi lui-même qui condamne tous ceux qui ne sont pas d'accord avec lui) = un Apologue Chapitre VI Le rêve/fantasme de tous les philosophes des Lumières : un politicien philosophe. Les femmes votent pour l'aspect physique de Zadig. [...]
[...] Il est vaniteux, orgeuilleux, jaloux, éprouve de l'amour propre. Cible : les courtisans. - les Femmes (les femmes qui sont toutes dans la passion), passionées et non rationnelles (ex : Sémire qui dit à Zadig qu'elle l'aime passionément, elle le quitte 3 jours après en pensant qu'il allait perdre l'oeil, et qu'elle avait une aversion (un dégout) pour les borgnes. Zadig a un amour solide, elle a un amour passioné.) Chapitre Azora regrette que le grand Hermes ne soit pas encore à Babylone : elle n'a pas compris que c'est un charlatan, ça prouve que comme l'avait pensé Zadig, elle est un peu "légère". [...]
[...] Pourquoi recourir à une mise en scène (mensonge) pour révéler la vérité ? Voltaire a écrit un compte : fiction. Et de la fiction va naître la vérité, et cette vérité du livre est l'idée des philosophes des Lumières, dont Voltaire fait partie. Apologue fable sans la moralité) : court récit dont le lecteur doit tirer une leçon par lui-même. Chapitre Zadig est un philosophe des Lumières. On a ici une critique de la justice qui ne cherche pas à trouver la vérité, qui est aveugle, violente et interessée par l'argent. [...]
[...] Dans ce livre là, dans le monde qui nous entoure, on cherche à aveugler les gens, à obscurcir leur regard, à leur cacher la vérité. dimension satirique, Zadig=le véridique/le juste=Lumières Orient : Obscurantisme : - style oriental. - surnaturel, croyances et traditions obscures (ex : se suicider lorsque son mari meurt.) l'Orient permet de faire surgir les ennemis contre lesquels Zadig doit se battre. Il examine ces traditions par la raison . Éviter la censure - ce n'est pas une histoire réelle, c'est un compte. - cela ne se passe pas à Paris, mais ailleurs (à Babylone), à une autre époque. [...]
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