C'est un texte qui fait partie du roman de chevalerie de Chrétien de Troyes écrit au XIIe siècle. Chrétien de Troyes est lié à la Cour de Champagne. C'est pour une dame qui l'écrit. Il appartient à la littérature courtoise. C'est un écrivain du Moyen-âge considéré comme le premier grand romancier français. Il s'est inspiré de la tradition celtique et des légendes bretonnes (la matière de Bretagne) ainsi que de la table ronde. Yvain est le héro du roman, il a été inventé (...)
[...] Et elle termine en se convainquant qu'elle a bien fait. Reprise du mot droit Yvain a tué son mari qui disparaît complètement. Au vers 1759 : le mot déresne veut dire perdre sa conduite, sortir d'une logique, c'est la logique de la passion qui replace celle-ci. Elle prend le rôle de l'accusatrice puis de la défense et du juge. Les questions sont rhétoriques. C'est de la comédie mise en scène. Yvain donne des réponses courtoises, il n'a jamais voulu faire de mal la dame. [...]
[...] Elle est prisonnière du devoir de sa fontaine et du devoir de châtelaine. La fontaine est la métaphore érotique de la passion. sa fontaine à elle en tant que femme. On note de la dérision. L'auteur fait référence à la société féodale : la dame n'est rien sans son mari. Vers 1751 : elle change brutalement, rapidité des vers. Au vers 1756 : on trouve au centre du vers le mot loyalement : il est question en fait du désir mais c'est caché par la vraie justice. [...]
[...] Commentaire linéaire de texte- Chrétien de Troyes Yvain ou le chevalier au lion. mais la dame toute nuit eut à que nul ne la souffle n'attise Introduction : C'est un texte qui fait partie du roman de chevalerie de Chrétien de Troyes écrit au XIIe siècle. Chrétien de Troyes est lié à la Cour de Champagne. C'est pour une dame qui l'écrit. Il appartient à la littérature courtoise. C'est un écrivain du Moyen-âge considéré comme le premier grand romancier français. [...]
[...] L'accumulation de mots est comique. La fin du texte devient de plus en plus comique, elle se parle d'abord à elle-même en imaginant les repousses de son chevalier puis elle se dit sensée. Puis elle se trouve contente d'elle- même et n'a plus de remords. Elle est comparée à une bûche qui s'enflamme sans qu'on l'attise car elle se convainc toute seule de sa bonne action. Elle n'a pas besoin de dialoguer devant une personne réelle pour se défaire de tous ces remords. [...]
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