Candide, déçu par l'Europe où il ne rencontre que des horreurs, décide de partir pour l'Amérique. Il prend le bateau avec son maître Pangloss mais fait naufrage. Ils débarquent tous les deux à Lisbonne après un terrible tremblement de terre. Ils sont condamnés par le Tribunal de l'Inquisition (...)
[...] Passe encore si je n'étais que fessé, je l'ai été chez les Bulgares. Mais, ô mon cher Pangloss ! le plus grand des philosophes, faut-il vous avoir vu pendre sans que je sache pourquoi ! Ô mon cher anabaptiste, le meilleur des hommes, faut-il que vous ayez été noyé dans le port ! Ô Mlle Cunégonde ! la perle des filles, faut-il qu'on vous ait fendu le ventre ! " Il s'en retournait, se soutenant à peine, prêché, fessé, absous et béni, lorsqu'une vieille l'aborda et lui dit : " Mon fils, prenez courage, suivez-moi. [...]
[...] Définition du conte. Un conte philosophique. Un conte est un récit d'histoire imaginaire. Respect d'un schéma narratif simple: L'arrestation: avaient en conséquence saisit». L'emprisonnement: «tous deux furent emmenés . L'autodafé avec le déguisement, la musique et le châtiment. Ce schéma narratif se termine par une chute même jour, la terre trembla . Il dégage une critique de l'optimisme, particulièrement de l'intolérance religieuse. Vocabulaire de l'autodafé réalisé par le tribunal de l'inquisition qui était chargé de brûler les hérétiques, ce qui déformaient la religion première. [...]
[...] D'abord un sermon puis un concert «une belle musique . Violence du traitement infligé. Châtiments cruels «fût fessé», «furent brûlés», «fût pendu». III. L'ironie, une arme efficace contre l'intolérance religieuse. Ironie dans le titre. «Comment on fit un bel autodafé», titre repris dans le premier paragraphe. Ironie dans le texte. Voltaire s'attarde sur des détails alors que l'on s'attendrait à une description psychologique (ex la peur des personnages). Ironie dans la présentation des tortures. Ironie dans le décalage entre les fautes et les peines. Ironie dans le chute. [...]
[...] Candide - Chapitre VI - Synthèse INTRODUCTION. Je dois étudier le Chapitre III de Candide, écrit par Voltaire (François Marie Arouet) et publié en 1759. Voltaire est un philosophe reconnu du 18ème siècle, appelé le Siècle des Lumières. Candide est un conte philosophique qui dénonce l'optimisme de Leibniz. Voltaire va prouver que le mal existe sous différentes formes et qu'il y a donc pas de raisons d'être optimiste dans la France du 18ème siècle. SITUATION. Le passage à commenter se situe au Chapitre VI. [...]
[...] Il est intéressant d'alayser les réactions de Candide. Il commence à douter c'est ici le meilleur des mondes possibles» que sont donc les autres, et également à remettre en cause l'optimisme. ANNEXE. CHAPITRE 6. COMMENT ON FIT UN BEL AUTO-DA-FÉ POUR EMPÊCHER LES TREMBLEMENTS DE TERRE, ET COMMENT CANDIDE FUT FESSÉ. Après le tremblement de terre qui avait détruit les trois quarts de Lisbonne, les sages du pays n'avaient pas trouvé un moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale que de donner au peuple un bel auto-da-fé ; il était décidé par l'université de Coïmbre que le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu, en grande cérémonie, est un secret infaillible pour empêcher la terre de trembler. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture