Candide tient parole, dans ce chapitre. Il a promis qu'il épouserait Cunégonde et même s'il n'en a plus très envie, il le fait par principe. Le thème principal de ce chapitre est l'ennui. Les personnages s'ennuient beaucoup. Ils n'ont plus rien à faire à part travailler et philosopher. Mais en voyant que cela ne les mène à rien, ils cessent après la dernière phrase de Candide : « Cela est bien dit [...], mais il faut cultiver notre jardin » (...)
[...] Il y a un partage des rôles conventionnel : pour les femmes, la broderie, le linge, la pâtisserie ; pour les hommes : le jardinage, la menuiserie. On rapprocher ce texte avec Gargantua de Rabelais. Le travail efface les défauts de Cunégonde. Voltaire met en avant les qualités et les valeurs du travail. Ses activités leur donnent de l'autosuffisance. C'est un monde clos. Petite société »petite terre Évocation d'un monde mesquin, d'humilité. Dans la métairie, on travaille, on est heureux. Le travail n'est pas une valeur à l'époque. [...]
[...] Le thème principal de ce chapitre est l'ennui. Les personnages s'ennuient beaucoup. Ils n'ont plus rien à faire à part travailler et philosopher. Mais en voyant que cela ne les mène à rien, ils cessent après la dernière phrase de Candide : Cela est bien dit [ mais il faut cultiver notre jardin C'est le dernier chapitre du conte : l'épilogue. Candide a retrouvé Cunégonde et les personnages sont en Turquie où ils découvrent l'ennui. L'énumération des noms que fait Pangloss le ridiculise car il n'explique pas et ne donne pas d'arguments. [...]
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