Voltaire est un philosophe reconnu du 18ème siècle, appelé le Siècle des Lumières. Candide est un conte philosophique qui dénonce l'optimisme de Leibniz. Voltaire va prouver que le mal existe sous différentes formes et qu'il n'y a donc pas de raisons d'être optimiste dans la France du 18ème siècle.
Le passage à commenter se situe au chapitre III, lorsque Candide assiste en tant que spectateur entre la guerre opposant les Abares aux Bulgares (...)
[...] Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu'il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin, tandis que les deux rois faisaient chanter des Te Deum chacun dans son camp, il prit le parti d'aller raisonner ailleurs des effets et des causes. Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants, et gagna d'abord un village voisin ; il était en cendres : c'était un village abare que les Bulgares avaient brûlé, selon les lois du droit public. [...]
[...] Impression d'une guerre joyeuse. Rapidité de l'action. Imparfait de description Passé Simple de narration. Morts considérés comme des coquins, de la vermine. Candide, spectateur peureux se cache, il ne participe pas à l'action. Insensible et égoïste il est soulagé lorsqu'il arrive dans le village. II. Le vrai visage de la guerre. Atrocité chez les soldats. Plutôt qu'un spectacle, il s'agit d'un massacre causé par les armes. Artillerie lourde: canons. Artillerie légère: la mousqueterie (décharge de plusieurs fusils en même temps). [...]
[...] Candide - Chapitre III - Synthèse INTRODUCTION. Je dois étudier le Chapitre III de Candide, écrit par Voltaire (François Marie Arouet) et publié en 1759. Voltaire est un philosophe reconnu du 18ème siècle, appelé le Siècle des Lumières. Candide est un conte philosophique qui dénonce l'optimisme de Leibniz. Voltaire va prouver que le mal existe sous différentes formes et qu'il y a donc pas de raisons d'être optimiste dans la France du 18ème siècle. SITUATION. Le passage à commenter se situe au Chapitre III, lorsque Candide assiste en tant que spectateur entre la guerre opposant les Abbares au Bulgares. [...]
[...] Approximation dans le nombre de victimes. La souffrance morale se même à la souffrance physique. Une part d'absurdité. Les deux rois remercient Dieu, ils pensent tous les deux avoir gagné la guerre. Les deux armées se ressemblent. Les villageois Abbares et Bulgares sont dans la même désolation. CONCLUSION. C'est donc bien une critique de la guerre. Voltaire dénonce une fois de plus l'optimisme de Candide et l'absurdité de la guerre. Il faudra encore beaucoup de temps à Candide pour évoluer. [...]
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