Verlaine, Le piano que baise une main frêle, Rimbaud, romances sans paroles, hypersensibilité de Verlaine, poème
Romances sans paroles : Verlaine quitte sa femme Mathilde pour s'enfuir avec Rimbaud, importance des images car images symboliques, héritage baudelairien, quête identitaire. Verlaine refuse les artifices, notamment en ce qui concerne le rythme et les rimes. Le poème révèle l'hypersensibilité de Verlaine, l'extrême fragilité de son Moi. Rimes suffisantes car refus de tout ce qui est de l'ordre de l'éclat, refus du sonore, volonté de privilégier la fadeur, le mode « mineur », l'entre-deux, presque la monotonie. Tension vers le Néant, recherche de la simplicité, refus de l'éloquence.
[...] Que voudrais-tu de moi, doux Chant badin ? Qu'as-tu voulu, fin refrain incertain Qui vas tantôt mourir vers la fenêtre Ouverte un peu sur le petit jardin ? Problématique : Comment ce poème constitue-t-il une métaphore de la création poétique? Première strophe : atmosphère féminine Vers 1 : Mise en valeur du piano, de la mélodie Vers 2 : Ambiance nostalgique car le rose évoque les souvenirs charmants tandis que le gris marque l'évocation d'un temps passé Vers 5 en contradiction avec la première strophe : plus court en terme de longueur, plus vif et plus agressif, pas de musicalité en l (sonorité q dure et masculine) Vers 6 revient à l'essence de la première strophe boudoir parfumé Figure de la Muse, de l'inspiration, Elle désigne la poésie = liaison forte entre l'inspiration poétique métaphorisée par la Muse et la poésie ; écriture construite à travers la mélodie et la musicalité Deuxième strophe : atmosphère masculine Vers 8 : Que voudrais-tu de moi? [...]
[...] Verlaine : Le piano que baise une main frêle Romances sans paroles : Verlaine quitte sa femme Mathilde pour s'enfuir avec Rimbaud, importance des images car images symboliques, héritage baudelairien, quête identitaire. Verlaine refuse les artifices, notamment en ce qui concerne le rythme et les rimes. Le poème révèle l'hypersensibilité de Verlaine, l'extrême fragilité de son Moi. Rimes suffisantes car refus de tout ce qui est de l'ordre de l'éclat, refus du sonore, volonté de privilégier la fadeur, le mode mineur l'entre-deux, presque la monotonie. [...]
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