Dans la majorité du poème, Verdet rapporte les paroles de son camarade. Les 3 derniers vers sont consacrés à la mort du camarade.
Alexandrin / hexasyllabe, octosyllabe, alexandrin.
Une strophe de 10 vers composés de 5 distiques construits tous de la même façon : Tu me disais + paroles de son camarade.
4 strophes de 3 vers : Tu me disais aussi, encore, encore, enfin + paroles du camarade (...)
[...] Elle est irréelle, inaccessible : 1er tercet. Pourtant le lien qui l'unit à son époux est très fort : Le poème tout entier exalte la puissance de l'amour du prisonnier : les verbes qu'il emploi sont au présent de vérité général ce qui confirme un caractère éternel de la femme et la répétition de "tu me disais" révèle la patience du prisonnier qui ne peut se taire et cesser de parler d'elle deniers tercet : toutes ses pensées sont tournées vers elle : ces souhaits expriment son amour et sa volonté de la retrouver. [...]
[...] Ça dit la séparation entre les 2 individus. II- un poème poignant : La progression du poème afin de monter que la tension s'accroît au fil du poème : - le choix des adverbes : "aussi, encore, enfin" - le rythme s'accélère avec les adverbes : les tercets s'allonge : phénomène d'amplification. Le contenu change : on passe de l'évocation de la femme au désir de la retrouver. progression dans les souhaits "lui écrire, la chanter, revenir" - dernier tercet : chute du poème où s'exprime-la chute de l'espoir et la réalité de la mort Le dernier tercet : contraste entre l'amour et la mort, mais le poème se termine sur l'idée de l'amour - caractère horrible et brutale de la mort : changement de ton (glorification de la femme la colère : asyndète) et de vers (tercet hexasyllabe) = rupture de rythme qui dit l'éruption brutale de la mort - évocation des souffrances subites dans le camp de concentration : vocabulaire brutale - V 22 : euphémisme ; la mort apparait discrète encore dans les mots du prisonniers mais lui parle des autres poètes. [...]
[...] Les jours, les nuits et puis l'aurore d'André Verdet Le poète rapporte, met en forme ce que les autres disent. André Verdet rapporte les paroles de son camarade pour témoigner de l'amour de son camarade pour sa femme. Son camarade éprouve un amour profond pur sa femme. C'est un poème d'amour écrit dans un camp de concentration. C'est un poème triste : au fur et à mesure du poème, les vers sont de plus en plus courts et on passe de l'amour à la tristesse. [...]
[...] Dans la majorité du poème, Verdet rapporte les paroles de son camarade. Les 3 derniers vers sont consacrés à la mort du camarade Alexandrin / hexasyllabe, octosyllabe, alexandrin Une strophe de 10 vers composés de 5 distiques construits tous de la même façon : Tu me disais + paroles de son camarade 4 strophes de 3 vers : Tu me disais aussi, encore, encore, enfin + paroles du camarade Phénomène d'amplification Dans le 1er tercet le rappel de 1ère strophe est marqué par la construction Dans les 2 tercets suivant il exprime ses volontés. [...]
[...] Dans ses propos, une extrême violence où il n'y a plus d'euphémismes (allitération en - Dernier vers : Il surprend parce qu'il montre que l'amour est plus fort que la souffrance et la mort : opposition ente les 2 derniers vers. Conclusion : L'amour du prisonnier pour sa femme réussit à transfigurer la brutalité de sa mort. Son amour survie dans la poésie. On a 2 poètes qui font parler leur cœur. André Verdet donne l'illustration de la poésie : en chantant les merveilles de son camarade il dit la puissance du souvenir et donne l'immortalité à ce fabuleux amour. Le poème dénonce l'atrocité de la guerre en associant l'amour et la mort. [...]
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