Il y a deux règnes :
- Henri IV régence : Marie de Médicis.
- Louis XIV régence : Anne d'Autriche.
Apothéose de cet âge d'or avec Louis XIV
Richelieu avait largement contribué à développer l'art dramatique : moyen de privilégier l'éducation de la société : il va créer de nombreuses ordonnances.
Théâtre : instrument de propagande monarchique et de prestige culturel (...)
[...] Le souci de la portée morale. Souci de plaire au public mais aussi d'instruire (car volonté de corriger les vices de l'homme) Corneille, Molière, Racine La tragédie va fonder don influence morale sur la notion de catharsis= représentation des souffrances qu'engendre les passions éveillerait chez le spectateur un mélange de crainte et de compassion pour les héros et l'inciteraient à modérer ses propres transports à se purifier de ses propres excès. Principes de l'écriture théâtrale. La composition de l'action. Aristote disait qu'une action est cohérente et vraisemblable si elle comporte un commencement un milieu et une fin c'est-à-dire une exposition, le nœud et le dénouement. [...]
[...] ( LE MONOLOGUE : Le personnage est seul sur scène et se parle à lui- même (il faut faire une différence avec le SOLILOQUE=implique la présence d'un interlocuteur silencieux) Il marque une rupture de l'action et de la communication. Il offre aux personnages l'occasion d'exprimer des pensées, des sentiments souvent pendant un moment de crise. Il peut être lyrique, informatif, ou délibératif. ( L'APARTE : est un discours qu'une personne prononce à part, en présence d'autres personnes (qui n'entendent pas) alors même qu'il est intégré dans un dialogue. Mettent en valeur les renversements de situation. Il peut établir une connivence entre personnages et public. [...]
[...] Le spectacle va devenir grandiose et est fait pour mettre en valeur la figure royale. (Machines, décors somptueux) Le spectacle est dans la rue comme à la cour. les conditions de vie théâtrales. Création des salles et sédentarisation des comédiens : au départ, un seul lieu : l'hôtel de Bourgogne, ensuite, nouvelle salle : le jeu de paume du marais (deuxième troupe qui s'y installe) puis après, le palais royal, le Louvre, le petit bourbon. La sédentarisation des comédiens dépend de la création des salles et des initiatives du pouvoir. [...]
[...] Théâtre qui remet en cause les bienséances et l'unité de composition qui était recommandés.) Epanouissement et déclin du classicisme. 1660-1680 = épanouissement, avec le respect des règles, le désir de s'adapter aux gouts d'un public instruit qui se cultive. Désir de plaire à l'auditoire. Mais après, à partir de 1680, méfiance et hostilité croissantes de l'église nuisent à la vie théâtrale. II) les principes de l'esthétique dramatique. Imitation et création. La référence à l'antiquité. Auteurs vont imiter en se référant à l'antiquité. REFERANCE SUPREME : Aristote. La poétique. [...]
[...] l'évolution du théâtre. L'esthétique baroque. Baroque synonyme de bizarre. Auteurs baroques se tournent vers des genres mixtes (tragicomédie). Les intrigues sont complexes, privilégient l'action, les mouvements, les effets de surprise. Mise en scène de la folie, fragilité humaine, illusion, mort, violence. Les prémices de l'esthétique classique. vers 1930, c'est la première rupture. Les théoriciens vont, au nom de la raison, s'appuyer sur des préceptes d'Aristote pour définir des règles qui doivent ramener le théâtre à plus de mesure et de vraisemblance. 1630-1660. [...]
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