Jacques Prévert, Silence de vie, refus de l'apprentissage, simplicité de la vie, jeux de mots
Jacques PREVERT est un poète du XXème siècle qui est devenu un populaire grâce à son premier recueil, Paroles, en employant un langage familier et des jeux de mots. Dès l'âge de quinze ans, après son certificat d'études, il quitte l'école car il s'y ennuie et décide d'écrire « Silence de vie » en vers libre en rapport avec sa vie personnelle.
Nous étudierons d'abord comment le poète démontre l'éloignement de la société; puis nous verrons aussi que le poète insiste sur la simplicité de la vie.
Dans un premier temps, le poète met en valeur l'éloignement de la société qui se manifeste tout d'abord, par un refus de l'apprentissage.
[...] Nous étudierons d'abord comment le poète démontre l'éloignement de la société ; puis nous verrons aussi que le poète insiste sur la simplicité de la vie. Dans un premier temps, le poète met en valeur l'éloignement de la société qui se manifeste tout d'abord, par un refus de l'apprentissage. La répétition du refus dans le début des vers et 13 montre que l'enfant refuse catégoriquement toutes manières d'apprentissage. Les verbes apprendre comprendre (v.2) et entendre (v.5) montre que l'enfant veut s'exclure volontairement de la société. De plus, l'éloignement de l'enfant apparait aussi dans l'incompréhension des règles. [...]
[...] Il ne veut pas s'encombrer de toutes ces futilités car c'est un sauvage et la vie lui apporte bien plus de satisfactions , c'est pourquoi il se retranche dans le silence de la vie Dans un second temps, PREVERT insiste sur la simplicité de la vie. Tout d'abord, il fait une personnification de la vie. D'après le vers on note que le poète voit depuis longtemps déjà que l'enfant se refuse à toutes formes de règles de vie. Avec l'oxymore vacarme sourd et muet du vers PREVERT montre que les sens physiologiques sont en contradiction avec le vacarme et incommode fortement l'enfant. [...]
[...] L'enfant n'a pas besoin de s'exprimer car il démontre que pour lui la vie est un enchantement et une beauté dans les vers 11 et 12. Dans le vers 13, autre cerveau ramène à dire que l'enfant se complait dans le fait qu'il soit différent et qu'il l'accèpte. Pour conclure ; ce poème présente l'image d'un enfant sauvage qui revendique sa rupture de ce que lui apporte la société et préfère la simplicité de la vie qui lui permet de trouver son équilibre grâce aux biens faits de sa propre imagination. [...]
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