Juliette II, 2 à R : "ô Roméo, Roméo ! Pourquoi es-tu Roméo ? Renie ton père et refuse ton nom [...] Beau Montaigu" (...)
[...] (il veut se poignarder) à J Oh c'est n charmant gentilhomme Roméo, près de lui n'est qu'une lavette. B à B par l'œil noir d'une demoiselle [ ]lui homme à à R affronter Tybalt ] Petite pomme aigrelette Qui fait de l'esprit une vraie sauce piquante [ ] Tu es sociable, à présent, tu es Roméo, tu es toi-même comme la nature et l'art t'ont voulu. sa mère Et là, dans le bouquet des sycomores qui sont à ‘ouest de la ville j'i vu votre fils qui allait, matinal comme moi. [...]
[...] Des citations pour cerner le personnage de Roméo Ce que les autres personnages disent de lui à R Renie ton père et refuse ton nom [ ] Beau Montaigu à n magnifique tyran, démon angélique [ ] En tout point contraire de ce que tu sembles en tout [ ] Vais-je dire du mal de mon mari ? [ ] ô quel monstre je fus de m'en prendre à lui [ ] Mais aussi, ô méchant, Pourquoi faire mourir mon cousin ? nourrice à J pour choisir un homme. Roméo ? Non, vraiment pas. [...]
[...] [ Oh elle savait bien que ton amour récitait son couplet Sans avoir jamais appris à lire Mais viens, jeune inconstant [ ] Es-tu un homme ? C'est vrai que ton aspect le proclame Mais tes larmes sont d'une femme et tes actes fous Montrent la déraison furieuse d'une bête Femme malencontreuse sous l'apparence d'un homme Et bête monstrueuse sous cette hybride apparence Je te croyais d'un plus riche métal. [ ] Tu fais insulte à ta naissance, à la terre, au ciel II- Ce que Roméo dit de lui Je ne suis pas d'ici Ce n'est pas Roméo Il est quelque autre part [ ] Ah mon cher, montre-moi une amante parfaite. [...]
[...] ô ma douce Juliette Ta beauté fait de moi un efféminé Elle amollit l'acier de ma valeur [ ] Remonte au ciel mon esprit d'indulgence Et guide-moi désormais, fureur au regard de feu Laurent ici où Juliette vit l'apothica Mais non sans que son souffle troue sa poitrine ire Avec autant de violence Que dans la mise à feu la poudre explosive En a pour fuir le terrible canon. Balthazar Et bien plus implacables et plus farouches Que le tigre affamé ou la fureur de la mer qu'il ne Ne charge pas mon cœur d'un péché de plus reconnaît En excitant ma colère. Va-t-en, va-t-en pas Par Dieu, je t'aime davantage que moi-même Car c'est armé contre moi seul que je suis venu jusqu'ici. de mourir Sur le roc écumeux ta barque fatiguée De houles de la mer. [...]
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