C'est avant le couronnement de richard, la conquête du pouvoir. Le lord-maire représente le peuple. Richard et Buckingham jouent une scène devant lui pour lui faire croire qu'il est un roi légitime. La scène a un champ lexical de théâtre (...)
[...] Il y a deux types de publics : - Le maire est un public naïf, il croit ce que dit richard. - nous (lecteurs, spectateurs) savons que la réalité est inversée, connaissons l'étendue du mensonge. Il y a un effet d'ironie. On en sait plus que le maire. Richard projette son portrait sur Hastings. Il est le traître le plus dissimulé. Il manipule le discourt religieux, se fait passer pour quelqu'un qui respecte les valeurs religieuses. Il manipule la réalité. [...]
[...] - A sa sortie, richard et Buckingham parlent (coulisses). On voit la suite du complot. La scène est une feinte, c'est une scène de théâtre. Importance de la parole dans le théâtre, elle transforme la réalité en mensonge. Richard et Buckingham parlent à la place de Hastings. Ils élaborent la suite du complot dans la dernière partie de la scène. On retrouve l'importance de la parole. Richard apparaît comme metteur en scène, il donne des instructions à l'acteur Buckingham, ce sont des consignes. [...]
[...] Il faut maîtriser le discourt et feindre des sentiments, des émotions. Hastings est assassiné à la fin de la scène précédente. Richard se débarrasse de lui. Il déguise ses meurtres. Il justifie aux yeux du maire la mort de Hastings. Il se donne le beau rôle. Il le fait passer pour un traître. Richard est le sauveur de la patrie, il l'a tué pour sauver l'Angleterre. Ils jouent sur les accessoires et les costumes armure rouillée, l'air prodigieusement piteux fait passer de vieux guerriers). [...]
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