L'éducation d'un enfant se fait dès la naissance et se prolonge tout au long de la vie. Cette éducation passe avant tout par le savoir, savoir qui peut non seulement être inculqué par les adultes mais aussi être acquis par l'enfant lui-même. De ce fait, on peut se demander dans quelles mesures l'enfant doit-être l'unique acteur de son savoir. C'est-à-dire délimiter les situations où l'enfant occupe un rôle primordial à l'acquisition de ses propres connaissances, pas seulement culturelles mais également morales avec des valeurs, un savoir-vivre et une certaine connaissance de la vie. Mais jusqu'où l'enfant peut-il être l'unique maître de son savoir ?
Afin d'apporter une réponse à cette problématique, nous démontrerons tout d'abord que l'enfant ne peut pas être le seul acteur de son savoir. Enfin, nous prouverons que les différents savoirs acquis par l'enfant lui-même restent nécessaires à son bon développement.
L'enfant ne peut pas être l'unique acteur de son savoir.
En effet, le savoir d'un enfant passe avant tout par l'éducation et le savoir-vivre qui lui est inculqué. Or, les bases de cette éducation ne peuvent être apportées à l'enfant que par un adulte. Par exemple, les limites imposées par les parents permettent aux enfants d'acquérir des valeurs morales qui sont nécessaires au bon développement de chaque individu et à son épanouissement dans la société. Ainsi, on constate bien souvent que les enfants moins bien encadrés par les parents se montrent plus indisciplinés face aux réglements imposés par la société, tels que certains élèves difficiles que l'on peut rencontrer dans les établissements scolaires ; ce qui prouve que le savoir relatif à l'éducation d'un enfant ne peut être enseigné que par un adulte. (...)
[...] Ainsi, il est important que dans une certaine mesure l'enfant soit le seul acteur de son savoir. Nous conclurons que même si la plupart des savoirs appartenant aux enfants sont acquis par le biais des adultes ou parfois même des autres enfants, les savoirs que l'enfant acquiert lui-même sont tout aussi essentiels pour le développement de l'individu en devenir. Ainsi, nous avons démontré que certains savoirs, qu'ils soient culturels, basés sur l'éducation ou portant sur l'expérience de la vie, ne peuvent être enseignés que par des individus autres que l'enfant lui-même. [...]
[...] En effet, les connaissances intellectuelles et culturelles sont de nos jours, avant tout, transmises par les enseignants aux enfants. Nous venons de prouver que dans certains cas l'enfant ne peut pas être l'unique acteur de son savoir et qu'il lui est nécessaire d'acquérir des connaissances par le biais d'individus autres que lui-même. Néanmoins, les savoirs dont l'enfant prend connaissance seul ne sont-ils pas tout autant essentiels ? Certes l'enfant ne peut pas être l'unique acteur de son savoir, cependant certaines connaissances acquises par l'enfant seul sont nécessaires. [...]
[...] C'est-à-dire délimiter les situations où l'enfant occupe un rôle primordial à l'acquisition de ses propres connaissances, pas seulement culturelles mais également morales avec des valeurs, un savoir-vivre et une certaine connaissance de la vie. Mais jusqu'où l'enfant peut-il être l'unique maître de son savoir ? Afin d'apporter une réponse à cette problématique, nous démontrerons tout d'abord que l'enfant ne peut pas être le seul acteur de son savoir. Enfin, nous prouverons que les différents savoirs acquis par l'enfant lui-même restent nécessaires à son bon développement. L'enfant ne peut pas être l'unique acteur de son savoir. [...]
[...] De plus l'enfant peut être le seul acteur de certains de ses savoirs culturels. En effet la découverte de choses seul peut permettre à l'enfant de se découvrir une passion qui perdure au fil du temps et au travers de laquelle il acquiert, simultanément, des connaissances. De ce fait, afin d'illustrer cet argument nous pouvons prendre l'exemple de Jean-Paul Sartre qui dans Les Mots nous décrit la naissance de sa passion pour les livres, qu'il a découvert seul lorsqu'il était enfant. [...]
[...] Or, les bases de cette éducation ne peuvent être apportées à l'enfant que par un adulte. Par exemple, les limites imposées par les parents permettent aux enfants d'acquérir des valeurs morales qui sont nécessaires au bon développement de chaque individu et à son épanouissement dans la société. Ainsi, on constate bien souvent que les enfants moins bien encadrés par les parents se montrent plus indisciplinés face aux réglements imposés par la société, tels que certains élèves difficiles que l'on peut rencontrer dans les établissements scolaires ; ce qui prouve que le savoir relatif à l'éducation d'un enfant ne peut être enseigné que par un adulte. [...]
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