roman, genre protéiforme, écrivains, siècles, condamnation de l'Église, prisme romanesque, humanisme
Le roman est un avatar de l'épopée antique, genre considéré comme le plus haut, le plus noble par Aristote dans sa Poétique. Cependant, le mot ne désigne qu'un récit en langue vulgaire (ou « romane ») au XIIe siècle et, paradoxalement, son essor lui vaut la condamnation de l'Église et des critiques littéraires parce qu'invraisemblable et évoquant souvent l'amour, il est méprisé. En fait, il inquiète surtout par l'absence de codes pour définir un genre en constante métamorphose, offrant une grande liberté de création aux écrivains.
[...] Le roman est un avatar de l'épopée antique, genre considéré comme le plus haut, le plus noble par Aristote dans sa Poétique. [...]
[...] En fait, il inquiète surtout par l'absence de codes pour définir un genre en constante métamorphose, offrant une grande liberté de création aux écrivains. [...]
[...] Cependant, le mot ne désigne qu'un récit en langue vulgaire (ou romane au XIIe siècle et, paradoxalement, son essor lui vaut la condamnation de l'Église et des critiques littéraires parce qu'invraisemblable et évoquant souvent l'amour, il est méprisé. [...]
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