La présence du jeu :
Première strophe : jeu avec la fille de l'ouvrier
- Allusions comiques: "secouant ses tresses" (vers 39), "elle ne portait jamais de pantallon" (vers 41)
- Alitération en "s" vers 39: "sur son dos, en secouant ses tresses" jeux sur un bruit drôle
- "Il tirait la langue" (ver 9) (...)
[...] Dans les Etrennes des orphelins par exemple. Dans ce poème, on voit la tristesse de deux orphelins, abandonnés par leur mère. Cela évoque bien sur la veuve Rimbaud (mère d'Arthur), que le poète appelle Madame car celle-ci n'avait aucun contact ou affection envers ses enfants. [...]
[...] Une porte s'ouvrait sur le soir : à la lampe, On le voyait, là-haut, qui râlait sur la rampe, Sous un golfe de jour pendant du toit. L'été Surtout, vaincu, stupide, il était entêté 15 À se renfermer dans la fraîcheur des latrines : Il pensait là, tranquille et livrant ses narines. Quand, lavé des odeurs du jour, le jardinet Derrière la maison, en hivers, s'illunait, Gisant au pied d'un mur, enterré dans la marne 20 Et pour des visions écrasant son œil darne, Il écoutait grouiller les galeux espaliers. [...]
[...] Commentaire composé sur Les Poètes de sept ans, Rimbaud Il s'agit d'un plan de commentaire composé sur le poème de Rimbaud, Les poètes de sept ans, écrit en 1871. L'exercice est composé du plan et de la conclusion. Le devoir est sur un extrait, verss 31 à 54, mais quelques allusions ont été ajoutées en italique même si elles ne font pas partie de l'extrait, car elles complètent l'idée développée. Le poème: Les Poètes de sept ans À M. P. [...]
[...] et nous nous sommes rendu compte que Rimbaud présentait peut-être des morceaux de son enfance. Ensuite, nous avons étudié le rapport de l'enfant au rêve, très présent dans l'extrait, grâce à des évocations de pays lointains, de couleurs chaudes, etc. Enfin, nous avons vu que Rimbaud se servait de ce poème de jeunesse (dans les deux sens du terme) pour expliquer le rôle du poète: utiliser des images pour faire une critique de la société. Rimbaud s'était déjà inspiré de son enfance (mise en poésie) pour écrire. [...]
[...] Tandis que se faisait la rumeur du quartier, En bas, seul, et couché sur des pièces de toile 64 Écrue, et pressentant violemment la voile ! 26 mai 1871 Le plan: I La nostalgie de l'enfance 1 La présence du jeu: * Première strophe : jeu avec la fille de l'ouvrier * Allusions comiques: secouant ses tresses (vers elle ne portait jamais de pantalon (vers 41) * Alitération en s vers 39: sur son dos, en secouant ses tresses jeux sur un bruit drôle * Il tirait la langue (vers 2 Les sens porteurs de bons souvenirs: * Vue: journaux illustrés (vers 34) * Goût: saveur de sa peau (vers 43) * Toucher: il était sous elle (vers 40) * Ouï: crieurs (vers rire et gronder les foules (vers 51) * Odorat: parfums sains (vers 53) * Nombreuses allusions à la vision sans voir regard qui ment qui expriment la négligence de la mère (opposé aux bons souvenirs) 3 Rimbaud dans son texte: * Dates précises: à sept ans (vers huit ans (vers 37) * la liberté ravie (vers 32) : rapport avec Rimbaud enfant fugueur * Il n'aimait pas Dieu (vers 48) : Rimbaud opposé à la religion * Il rêvait la prairie amoureuse (vers 52) : recherche d'une femme parfaite, personnifiée ici Transition: étudier la distanciation: Rimbaud est le personnage de son texte mais utilise le pronom il pour se désigner II Invitation au rêve: 1 L'omniprésence du rêve: * Champs lexical du rêve: des rêves (vers il rêvait (vers 52) * La liberté ravie »(vers rêve de partir de la ville * Présentation d'un rêve dans les trois derniers vers (52 à 54) * Présence de magie: le jardinet ( . [...]
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