Commentaire composé/Lecture analytique du poème "Aube" de Rimbaud. L'étude est réalisée suivant un plan détaillé en deux parties principales. Document de 600 mots idéal pour les révisions du bac de français ou pour réaliser une étude sur le texte.
[...] On observe le réveil du monde : Champ lexical du réveil ( l 4-5-17) ; métaphore L10 qui signifie que la brume se lève ; passage progressif de l'ombre à la lumière ( L3-10 ; 7-9-17) ; animation progressive du décor opposition entre la vie et la mort, l'immobilité et le mouvement ; allitération L8-9 qui rappelle le mouvement. Le poète est actif dans ce réveil : Verbes d'actions tout au long du texte où le poète est sujet, il est l'acteur principal du poème. II une relation ambiguë dans un univers fantastique une atmosphère fantastique. Atmosphère étrange et inquiétante : Personnification ( l'eau est morte ; voile métaphore de la mort. [...]
[...] Il est entré dans le mythe pour avoir abandonné la littérature après avoir inventé une nouvelle langue poétique. commentaire composé : I poursuite de l'aube qui abouti au réveil du monde le récit d'une poursuite. Le texte est un récit : Connecteurs chronologique + le temps du passé et de l'imparfait est utilisé qui montre une succession d'évènement verbes d'actions + utilisation du je montre que le texte est un récit Il parle d'une poursuite : L'aube est en position d'infériorité : fuir , métaphore de la chasse (l'aube est proie) elle a une position d'objet (elle n'agit pratiquement jamais ; verbe de déplacement rapide ; accumulation d'éléments du décor ; déplacement continu (de la campagne à la ville). [...]
[...] La fin est ambiguë, il utilise je et se désigne être un enfant ; paradoxe j'ai embrassé l'aube je l'ai entouré et j'ai senti son corps Impression de flou : les voiles l'ombre (rêve/réalité) la vue n'est pas claire, champ lexical du sommeil et de la mort ; la chute du poète : tombèrent il utilise le champ lexical de la sensualité : embrassé sentir entouré (approche physique) une relation ambiguë L'aube semble être une femme : Énonciation direct une fleur qui me dit son nom je reconnu la déesse Le poète en est amoureux : Elle est mise en valeur par des personnifications j'ai senti son immense corps il utilise le champ lexical de la sensualité : embrassé sentir entouré (approche physique) Conclusion : Sachant qu'il a beaucoup marché, fugué et autres, il s'agit donc peut-être d'une expérience vécue. C'est une expérience exceptionnelle dans sa manière de présenter quelque chose d'immatériel. Illumination : colorée, décors et pour le sens abstrait avoir des illuminations, avoir des visions. Il a un rapport sensuel avec la déesse, donc avec le temps. Grâce à ce poème en prose, Rimbaud marque toute sa liberté dans le langage, la forme, l'expression qui lui permettent de suivre les ondulations de son esprit pour suivre les mouvements lyriques de son âme sans aucune contrainte. [...]
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