Premièrement, la critique de la religion est marquée par la profanation. En effet, il y a d'abord la présence de la mythologie et du paganisme. La mythologie tient une place importante dans la vie du Prince et en général (...)
[...] Le père Pirrone est un personnage important mais la religion est encore présente même lorsqu'il meurt. La religion étant très présente dans ce roman, nous pouvons donc nous pencher sur l'image qu'a la religion dans Le Guépard. Nous verrons d'abord qu'elle est critiquée et par qu'elle moyen elle est critiquée, ensuite que malgré cela elle finit triomphante. Premièrement, la critique de la religion est marquée par la profanation. En effet, il y a d'abord la présence de la mythologie et du paganisme. [...]
[...] Enfin, il y a des signes qui montrent que la religion est méprisée, humiliée, dégradée. En effet, il y a l'attitude du public pendant le rosaire : pendant une demi-heure d'autres voix, entremêlées, avaient tissé un bruissement ondoyant Le Prince et Angelica sont des époux adultères, ils commettent donc le pêché de chair. Ensuite le père Pirrone est assujetti à des vexations, voire des humiliations : lorsqu'il accompagne le Prince à Palerme pour rendre visite à sa maitresse Mariannina pages23-27, lorsque le Prince refuse de se confesser page 42, ou bien lorsqu'il surprend le Prince dans son bai ; il est aussi comparé à un chien de berger Pour finir, le Prince a une pensée contre les jésuites (Pirrone est jésuite) ‘'Quel beau pays ce serait, Excellence, si . [...]
[...] Les reliques sont à jeter, elles se sont avérées être des fausses car elles sont achetées par une des sœurs a Donna Rosa, une très grosse à moitié nonne, possédant des relations très fructueuses dans toutes les églises, tous les couvents et toutes les œuvres de charité de Palerme et de ses environs Ainsi, le clergé obtient ce qu'il veut. De plus, il n'est finalement pas touché par la menace qui pesait quant à la répartition des biens de l'église. Conclusion : Ainsi la religion fait partie intégrante de l'œuvre. Bien qu'elle paraisse méprisée, elle fait partie de l'identité des personnages et triomphe même si l'on a pu croire qu'elle aurait disparue avec la noblesse. [...]
[...] Ensuite, le roman donne une vision négative de la religion car elle est liée à la mort. D'abord les reliques des éléments saints et mortuaires. L'arrivée à Donnafugata est ponctuée par une mort. Il y a aussi la description des couvents : c'étaient ces couvents qui conféraient à la ville son air sombre et son caractère, son décorum joint au sentiment de mort Lorsque les Salina se rendent au monastère du Saint-Esprit c'est pour prier sur la tombe d'un aïeul du Prince. [...]
[...] L'omniprésence des couvents notamment lors de la descente du père Pirrone et du Prince à Palerme. Page 25 il est dit que les maisons basses et serrées étaient accablées par la masse démesurée des couvents Dans la deuxième partie du roman, l'anecdote de Tancredi est portée sur un couvent. Puis la mort de Fabrizio est religieuse. Rappelons enfin que le père Pirrone est le personnage principal de toute la partie 5. Pour finir, le clergé se débarrasse des profanations à l'issue de l'enquête sur l'oratoire créé à la mort de Don Fabrizio. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture