Rabelais :
- XVIème siècle, 1494-1553 : Période Renaissance
- Né dans 1 famille riche bourgeoise
- A vécu sous le règne de François 1er et début du règne de Henri II
- Devient moine en 1520
- S'intéresse à la science et au droit de l'Antiquité : condamné pas ses supérieurs
- Abandonne cette carrière et devient médecin (...)
[...] C 1 philosophie qui place l'être humain et les valeurs humaines au centre de la pensée. SES ŒUVRES Rabelais connaît des milieux très différents, celui des moines, des universités et des juristes ; d'autre part il est au contact des intellectuels qui souhaitent accéder directement aux textes anciens : c cette diversité d'expériences qu'il met en œuvre dans ses ouvrages. Rab. Fit paraître en 1532 Les Horribles et Epouvantables Faits et Prouesses du très renommé Pantagruel (ou juste Pantagruel) ouvrage condamné par la Sorbonne qui y voit l'exaltation des idées nouvelles. [...]
[...] (Haut.). Elle n'est point sortie de ma maison ? VALERE. Non, monsieur. HARPAGON. Hé ! dis-moi donc un peu : tu n'y as point touché ? VALERE. Moi, y toucher ! Ah ! [...]
[...] Ces caricaturistes agacent le pouvoir et, en 1834, Philipon a été condamné pr la série de métamorphoses du visage de Louis-Philippe en poire. Pls caricatures du visage de Louis Philippe en forme de poire dessinées par Charles Philipon. Ds L'Avare, Molière se propose de corriger les hommes de son époque en tournant en ridicule leurs défauts, au moyen de la caricature : il fait la satire de la société. Son projet : amuser les spectateurs. Il utilise pour cela toutes les ressources du comique : Le comique de mots qui porte sur les paroles des personnages. [...]
[...] Les beaux yeux de ma cassette ! Il parle d'elle comme un amant d'une maîtresse. VALERE. Dame Claude, monsieur, sait la vérité de cette aventure, et elle vous peut rendre témoignage . HARPAGON. Quoi ! ma servante est complice de l'affaire. VALERE. Oui, monsieur, elle a été témoin de notre engagement ; et c'est après avoir connu l'honnêteté de ma flamme qu'elle m'a aidé à persuader votre fille de me donner sa foi et recevoir la mienne. HARPAGON, [à part.] Eh ! [...]
[...] Le comique de gestes qui présente des scènes de coups de bâton et de poursuites par exemple Extrait de l'Avare, écrit par Molière en 1668 (acte scène : Valère, intendant d'Harpagon, aime Elise, la fille de ce dernier. Lorsqu'on dérobe à Harpagon la cassette où il conservait son argent, il accuse son intendant. Mais Valère croit être accusé de l'enlèvement d'Elise. VALERE. Moi ? Je ne l'ai point enlevée, et elle est encore chez vous. HARPAGON, à part. O ma chère cassette ! [...]
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