Le mot "jamais" conclut cette première strophe, ce qui met l'accent sur la mélancolie de l'auteur, quand il pense, et qu'il sait que les femmes qu'il a vu, il ne les retrouvera jamais.
La 2e strophe est une vision de la femme par l'homme. On retrouve une notion de distance dans tous les vers de cette strophe (...)
[...] La nuit est propice aux regrets, aux souffrances. C'est à ces moments là que ressurgissent les sentiments de solitude, les regrets et toutes ces choses apportant tristesse et malheur. Le femmes y participent donc sans le savoir. Conclusion : La femmes est dans ce poème omniprésente, alors qu'elle n'y est jamais vraiment décrite. Elle n'est qu'évoque. La femme est donc présente, et à la fois absente. La forme du texte évoque donc le contenu réel du poème, cest à dire l'éphémérité de la femme insaisissable . [...]
[...] En effet, l'échec de l'homme est de plus en plus fort, alors que l'intimité, elle devient de plus en plus grande, puisque l'homme voit tout d'abord la femme par une fenêtre, puis, en voyage, et enfin, il devient son confident. 4e vers : "Vous ont . " Le pronom implique ici le lecteur masculin. La mélancolie de l'auteur apparaît de plus en plus grande "inutile" puis dans les vers suivant "mélancolie" "avenir désespérant". La tristesse de la femme apparaît comme contagieuse, puisque l'homme ressort de cette confidence plus bouleversé que jamais. [...]
[...] 4e vers : Le mot "différent" insiste encore un peu plus sur la distance existant entre l'homme et la femme 6e vers : Le mot "jamais" conclut cette première strophe, ce qui met l'accent sur la mélancolie de l'auteur, quand il pense, et qu'il sait que les femmes qu'il a vu, il ne les retrouvera jamais. La 2e strophe est une vision de la femme par l'homme. On retrouve une notion de distance dans tous les vers de cette strophe 8e vers: L'homme ne voit la femme que par une "fenêtre", il n'arrive pas à l'approcher. Apparaît ensuite une notion de breveté "une seconde" "preste" dans le 9e vers . 10e vers : Le "Mais" marque une rupture dans cette deuxième strophe. [...]
[...] " Cette fois ci, le "vous" désigne bien les femmes, et non, les hommes comme précédemment. L'auteur joue donc sur les pronoms pour montrer l'attirance qu'à l'un pour l'autre, et vice-versa . 4e, 5e, 6e vers : Dans cette strophe, le bonheur est présent dans la vie de l'homme, et il peut donc oublier la femme "pour peu que le bonheur surviennent / Il est rare qu'on se souviennent). Il s'agit la d'une restriction très forte. On ne pourra oublier les femmes si et seulement si on trouve le bonheur. [...]
[...] Ici, l'auteur explique ce qui ce passe lorsque l'on a "manqué sa vie". 2e, 3e, 4e, 5e et 6e vers: L'homme, lorsqu'il a raté sa vie, lorsque le bonheur n'est pa présent, repense à toutes les passantes qu'il n'a pas pu approcher, qu'il n'a pa pu embrassées . Ici, la femme est source de tristesse. L'homme repense à ses échecs, éprouve du regret. Ces vers sont donc marqués par le registre pathétique, le champ lexical de la souffrance "solitude" "fantômes du souvenir" "lèvres absentes" . [...]
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