La poésie, et surtout la poésie lyrique, est éminemment personnelle. Les poètes sont divers et préoccupés essentiellement de l'analyse et de l'expression de leurs sentiments. Mais parfois la violence des circonstances historiques pèse sur leur évolution artistique et les thèmes qu'ils abordent.
La poésie engagée est toujours ancrée dans la réalité, dans l'Histoire. On trouve donc souvent des noms de lieux, de personnes, et des dates.
Le poète engagé vise à révéler la réalité, et à transmettre un message d'espoir. Le poète prend la plume lorsque les droits de l'homme sont bafoués dans différents domaines : religieux, social et politique. La poésie de Résistance est la poésie écrite pendant cette période qu'on appelle la Résistance. Elle s'est surtout développée au vingtième siècle, sous l'occupation nazie (...)
[...] La poésie de l'entre deux guerres La poésie, et surtout la poésie lyrique, est éminemment personnelle. Les poètes sont divers et préoccupés essentiellement de l'analyse et de l'expression de leurs sentiments. Mais parfois la violence des circonstances historiques pèse sur leur évolution artistique et les thèmes qu'ils abordent. La poésie engagée est toujours ancrée dans la réalité, dans l'Histoire. On trouve donc souvent des noms de lieux, de personnes, et des dates. Le poète engagé vise à révéler la réalité, et à transmettre un message d'espoir. [...]
[...] On peut penser que l'évolution ultérieure de la poésie d'Eluard et d'Aragon, avec quelques poèmes lamentables à la gloire de Staline, justifie à postériori en partie les critiques de Péret. Il n'y a qu'un pas, comme le faisait remarquer Camus, de l'engagement à la propagande. D'autres écrivains enfin refusent de publier sous l'Occupation, pour des raisons diverses, comme René Char. Pourtant les Carnets d'Hypnos ou Fureur et Mystère de Char (chef de maquis en Haute-Provence) publiés en 1946-1947 font sans aucun doute partie de la poésie de la Résistance. Bibliographie P.Castex & P.Surer ; Manuels études littéraires françaises Le XXe siècle Hachette, Paris, 1992. [...]
[...] Le mouvement surréaliste avait marqué l'entre-deux-guerres. André Breton focalise les tendances artistiques les plus vives de l'entre deux guerres qui conteste toutes les valeurs généralement admises. Il affirme l'indépendance de l'esprit qui repère le merveilleux partout. Le courant surréaliste entend réconcilier l'homme avec ses désirs, et donner la parole à l'inconscient et au rêve. La Guerre et surtout l'Occupation posent divers problèmes aux poètes ; problèmes matériels: comment publier, dans quelles revues, face à la censure allemande et vichyssoise? problèmes moraux : la poésie peut-elle encore être libre et indépendante? [...]
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