Le dix-neuvième siècle est la période littéraire qui se caractérise par la naissance du roman moderne en tant que pilier des genres modernes. C'est à cette époque, notamment grâce au Réalisme et au Naturalisme, que naissent les grands cycles d'oeuvre comme La comédie humaine ou encore le cycle des Rougon-Maquart chez Zola. Ici, le roman se prête étonnement bien aux doctrines réalistes et naturalistes. Il devient le support où l'auteur décrit le monde. D'un coté, le Réalisme s'attaque à le décrire au plus proche de la réalité. De l'autre, le Naturalisme, tout en respectant l'écriture réaliste, vient en parallèle à l'essor des technologies nouvelles et de la médecine, s'attacher à la démarche scientifique. L'écrivain devient chercheur, et on peut en quelque sorte parler de "scientifique social". L'auteur décrit les phénomènes sociaux, les étudie pour les reproduire au travers d'un personnage. Et, c'est grâce aux comportements de ce personnage que le lecteur peut comprendre l'influence des milieux sociaux sur sa vie (...)
[...] De plus, la relation de cause à conséquence signifiée par parce que est aussi très basique. Et, c'est cette apparente simplicité ou deux propositions liées allient la tristesse à sa cause basique, la souffrance, qui fait ressentir la puissance des sentiments exprimés par Mme Roland. Pour finir, il est possible de déceler la puissance de cette tristesse au sein de l'expression l'âme trop troublée Ici, l'intensif trop définit l'état de choc auquel Mme Roland est soumise. Mme Roland subit donc une souffrance violente qui ressemble a un deuil. [...]
[...] C'est une femme qui est en proie au cours du roman à de nombreux sentiments contradictoires. Ici, Maupassant clôt sa thématique de la femme bourgeoise coupable grâce a l'explosion de tristesse qui l'absout aux yeux du lecteur. Mme Roland apparait donc comme une femme seule, souffrant jusqu'à perdre le contrôle d'elle même. Maupassant vient ici respecter sa doctrine du roman. Il nous fait la démonstration d'un dénouement qui respecte la vision du roman de l'époque. Dans un premier temps, il faut s'intéresser a la thématique de la mer. [...]
[...] Il devient le support ou l'auteur décrit le monde. D'un coté, le Réalisme s'attaque à le décrire au plus proche de la réalité. De l'autre, le Naturalisme, tout en respectant l'écriture réaliste, vient en parallèle à l'essor des technologies nouvelles et de la médecine, s'attacher à la démarche scientifique. L'écrivain devient chercheur, et on peut en quelque sorte parler de scientifique social L'auteur décrit les phénomènes sociaux, les étudie pour les reproduire au travers d'un personnage. Et, c'est grâce aux comportements de ce personnage que le lecteur peut comprendre l'influence des milieux sociaux sur sa vie. [...]
[...] Maupassant montre que même si M. Roland a déjà un fils riche et qu'il est a l'abri du besoin, il recherche encore ce qu'il a toute sa vie d'artisan cherché à avoir. Maupassant livre ainsi un indice final de ce qu'il critique. Maupassant adresse aussi une critique du paraitre social dans cette famille déchiré par le mensonge. Pour terminer, on peut dire que M. Roland demeure un des personnages important dans cet excipit. Bien que pouvant être interpréter comme un personnage comique, il se revole être un personnage tragique qui persiste dans la luxure et l'avarice. [...]
[...] De plus, il faut noter que la vision de la Lorraine est une vision déformée, comme si le bateau était soumis à un effet d'agrandissement. Autrement dit, la progression du bateau se fait sous les yeux du lecteur. Les procèdes d'exagération reproduisent aisément ce phénomène. Ainsi, au début du passage la Lorraine est considéré comme étant déjà immense et imposante. On le retrouve notamment dans le superlatif sa plus belle fille La présence de l'adverbe royalement ligne nous permet d'affirmer que le vocabulaire mélioratif allié à cette idée d'immensité a pour but de faire naitre l'admiration chez le lecteur. [...]
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