Dans la pièce Oublier, écrite par Marie Laberge, il est question, entre autres, d'une dame vivant une situation semblable. Dans le passage de cette pièce dont il est question, l'auteure approfondit sur ce sujet de perte d'espoir.
Elle le fait, entre autres, en ressortant la tendance d'un personnage à vouloir en finir avec la vie, en nous laissant transparaître son caractère pessimiste et, finalement, en usant de figures de style comme l'énumération et la métaphore (...)
[...] Dans la pièce Oublier, écrite par Marie Laberge, il est question, entre autres, d'une dame vivant une situation semblable. Dans le passage de cette pièce dont il est question, l'auteure approfondit sur ce sujet de perte d'espoir. Elle le fait, entre autres, en ressortant la tendance d'un personnage à vouloir en finir avec la vie, en nous laissant transparaître son caractère pessimiste et, finalement, en usant de figures de style comme l'énumération et la métaphore. On ne se rend pas toujours compte de la chance que nous avons d'avoir la famille que nous avons. [...]
[...] En effet, si ce n'était pas de sa peur de se faire avoir par une force intérieure qui l'inciterait à se battre pour survivre, elle prétend que la meilleure solution envisageable à ses problèmes serait la mort. Lorsque, dans l'extrait, elle demande à sa sœur quelle serait la meilleure chose qui pourrait lui arriver, elle est déjà convaincue de sa propre réponse à la question, qu'elle croit la vraie, la mort. Joanne Jacqueline! (Jacqueline revient sur la mezzanine) Qu'est-ce qui pourrait m'arriver de mieux, tu penses? [ ] Joanne Veux-tu des choix multiples? [...]
[...] Cette œuvre de Marie Laberge est un texte très dense. L'auteure y aborde plusieurs thèmes, dont l'amour, la famille et les blessures de l'enfance traînées à la longueur d'une vie. Une bonne façon, pour les auteurs, de transmettre une panoplie d'émotions à travers leurs textes est d'y glisser des figures de style. De cette façon, Marie Laberge parvient même à ajouter une touche d'humour à cette lourde histoire. Premièrement, l'écrivaine d'Oublier s'apprivoise à la consternation en produisant une énumération. En effet, elle énonce les unes après les autres les composantes d'un ensemble, qui n'est, en l'occurrence, pas mentionné explicitement. [...]
[...] Y devait être chaud en hestie! On s'promène avec une poignée d'terre dans chaque main, pis l'envie de s'les fourrer dans bouche pour étouffer toutes les cris, toutes les cris qu'y faut qu'y restent en d'dans Bref, les figures de style utilisées par Marie Laberge dans cette pièce rendent celle-ci beaucoup plus intéressante et nous aident à bien comprendre tout le désespoir qu'elle contient. Pour conclure, nous avons démontré que Marie Laberge, dans la partie du texte Oublier dont il est question, explore les profondeurs du désespoir. [...]
[...] Alors que Jacqueline, sa sœur, amorce une manœuvre pour se rapprocher de Joanne, cette dernière lui ordonne de ne pas le faire, que ce sera inutile, voire nuisible. Elle lui dit que tout le monde a des problèmes et une envie de mourir, que le seul honneur est de survivre en restant ce que nous sommes. Joanne Non! Descends pas. Tu peux pas m'consoler. Tu l'sais ben. On peut jusse s'énerver. T'as tes morts toi avec. T'é sens pas, c'est toute. [...]
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