C'est une fiche de révision pour le texte "À une passante" écrit par Charles Baudelaire.
[...] - Extrait de la section des « tableaux parisiens » des Fleurs du Mal Baudelaire écrit des salons en propose : ➢ La mise en scène des habitants inconnus de Paris (portraits anonymes = pluralité des visages de Paris) ➢ L'autoportrait à un poète de Paris ➢ Poindre la ville et changements extravagants (qui sort du chemin) Problématique : En quoi cette mise en scène d'une rencontre marquée donne t elle lieu à un discours sur la poésie ? MOUVEMENT 1 : Une apparition féminine (vers Personnification de la rue, synesthésies dès VERS 1 = lien avec le SPLEEN DE PARIS, le mauvais vitrier poète présent physiquement « autour de moi » assonance « u », allitération « r », imparfait Parle de la femme (titre) : énumération rythme avec les « une femme » = anonyme, vue comme élégante même si alliance négative-> positive Passé simple Focalise sur la main, son élégance sorte de blason de la main MOUVEMENT 2 : Réception de rencontre (vers « Crispé », fixité, référence à la 1ère pers du singulier Présence de l'auteur accentue l'effet dune parenthèse sans l'existence du poète, retour imparfait « la douleur qui fascine et le plaisir qui tue » (VERS POSITIF->NEGATIF = « fascine tue » Segment averbal, flash, tempo, qui fait une pause Symétrie entre hémistiches MOUVEMENT 3 : Le regret, désespoir (vers 9-FIN) Ponctuation forte, averbal, apparition femme associée a l'éclair, lumière éblouissante, ensuite une fois passée le poète replonge dans le « noir », s'adresse directement à elle Apparition, disparition « Renaitre » = la vie et la mort, « le regard » « Éternité » = éventail de tems qui se déploie Le présent, symétrie entre les hémistiches S 1 : LES FLEURS DU MAL, CHARLES BAUDELAIRE - RENCONTRE IMPOSSIBLE CONCLUSION : - Le sonnet « A une passante » de Baudelaire reprend l'opposition entre spleen et idéal. [...]
[...] S 1 : LES FLEURS DU MAL, CHARLES BAUDELAIRE À UNE PASSANTE Charles Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort le 31 août 1867 à Paris. Il est l'un des poètes les plus célèbres du XIXe siècle : en incluant la modernité comme motif poétique, il a rompu avec l'esthétique classique ; il est aussi celui qui a popularisé le poème en prose. [...]
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