Commentaire composé du poème de De Nerval "Une allée du Luxembourg". Ce document construit autour de trois axes principaux commente et analyse l'oeuvre. Il convient tout à fait aux étudiants pour réaliser un devoir ou pour réviser le bac de français.
[...] On observe l'expression d'une implication personnelle dans l'emploi des possessifs et dans le rapprochement elle-je par les construction syntaxique, ce qui appartient à elle est sujet du verbe, ce qui appartient à je est complément. La relation affective est celle de la consolation ce que marque l'antithèse nuit profonde, éclaircissait de réciprocité de sentiment (utilisation du verbe répondre) relation dans le caractère privilégier et unique par la récurrence de l'adjectif seul (vers 5 et 8 encadrant la strophe) la structure de la strophe 2 souligne un jeu de correspondance entre elle et je, elle forme une unité avec comme fil conducteur l'idée constante d'un salut, mais d'un salut hypothétique, rêve à peine, espère le modalisateur peut être le point d'exclamation. [...]
[...] La rime a lui et a fui résume la scène, apparition rêve disparition, la disparition étant déjà contenu dans l'apparition comme le marque l'emploi du passé composé du ver 1. L'effet de rupture est accentué par la ponctuation qui morcelle la strophe et suggère de nombreux non-dit (les points de suspension) la structure du poème, le jeu sur les temps et les modes de modalité adoptés (récit, monologue, dialogue), la ponctuation (les tiret de la dernière strophe contribuent à mettre en relief l'espoir et le désenchantement d'une courte durée marquée dés son commencement du signe de l'échec. [...]
[...] Une allée du Luxembourg, De Nerval Introduction : Gérard De Nerval XXiéme (siècle) a toujours privilégié dans sa vie le rêve, l'imagination. Il est connu pour 2 romans Sylvie et Aurélia, c'est toujours une atmosphère de mystère et très onirique (de rêve). Idée générale : Le poète à partir du mouvement rapide d'une jeune fille se plonge dans la rêverie et regrette le temps qui passe La présence dominante de la jeune fille l'observation des pronom personnel et des caractérisations, attire l'attention du lecteur à partir du premier mot elle (v.1) sur une présence féminine, évoquée sous une forme parfois narrative, parfois descriptive elle occupe entièrement le premier quatrain : un pronom personnel elle qui ouvre le texte suivit d'une opposition jeune fille qui fini le ver sur une attente de précision, deux caractérisations vive et preste coordonné puis deux autres caractérisations sous forme de groupes nominaux opposés faisant commencer les vers 3 et 4 de manière analogique reprise de A la comme un refrain, elle domine également le second quatrain sous une forme présentative (c'est dont qui) qui le met en relief. [...]
[...] La reprise du verbe passer au vers 1 au passé composé et au vers 12 à l'imparfait avec une variation de sujet complète l'analogie. Entre le début du poème, qui souligne une apparition déjà presque disparue et la fin qui rappelle la disparition le temps et le poème sont occupés par l'évocation d'une vision heureuse et lumineuse mais déjà considéré comme inaccessible au moment ou elle ouvre le poème La seconde présence dominante : le poète C'est celle du poète narrateur perceptible dans la deuxieme et dans la troisieme strophe à l'utilisation du pronom et de l'adjectif possessif de la premiere personne mien, ma ainsi que le pronom personnel m' cette présence est celle de celui qui voit et qui parle. [...]
[...] Conclusion: Evocation brève et poignante par le jeu des apparitions, par le jeu des oppositions et l'évolution de la scène, lyrisme du désenchantement, constat de la vie passé, figure allégorique de la jeune fille et de la joie de vivre, double thématique de l'ombre et de la lumière chère à G. de Nerval, fontaine douloureuse du ton. [...]
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