Ovide a repris les métamorphoses et en a fait un livre. Elles peuvent être animales, végétales ou minérales. Elles peuvent également être naturelles ou cosmiques... Elles peuplent la littérature, la mythologie, l'imagination, le rêve, le fantasme, le fanatisme (...)
[...] Le mythe de la métamorphose. Il y a les mythes gréco-romains. Certains racontent la métamorphose (quelque chose qui se transforme). Il y a des passages d'homme à animal, parfois ils sont irréversibles comme dans l'Âne d'or D'Apulée dans lequel Lucius est l'âne. Il est transformé en âne, il ne peut redevenir un homme que s'il mange des roses, mais il n'en a pas. A la fin, il redevient humain. L'humain change : enfant, adulte, puis il meurt. Il y a également la métamorphose d'une femme : quand elle accouche d'un garçon, elle donne naissance à quelque chose de totalement différent d'elle. [...]
[...] Le Yiddish est une langue développée en Allemagne, parlée par les Juifs pour servir de langue à la religion à partir des textes hébraïques, il y a aussi de l'allemand et du slave dedans. Il y a des épopées en Yiddish, des traductions. On y retrouve souvent la figure du roi Salomon. Il y a des fonds communs dans l'histoire gréco- romaine. Il y a des mythes indo-européens. Les mythes sont transformés selon les pays. Le mythe du loup-garou fascine, il prospère. C'est une image de la bestialité. [...]
[...] La carapace est une métamorphose de ce que la société lui fait subir. Le côté extérieur est la vie du métier. Le relais, ce sont les parents (la famille en tant qu'institution des lois sociales). On s'attend à ce que quelqu'un l'écrase . Sa métamorphose entraîne celle de la famille, les relations avec lui. Elle devient vulnérable et faible. Il y a un épanouissement du reste de la famille. Elle devient autonome, sûre d'elle. Le père porte un uniforme. L'histoire se termine par l'apogée de la famille, l'intrus a été détruit. [...]
[...] Ce mythe existe encore aujourd'hui. On le retrouve dans les films comme dans La bête du Gévaudan On brûlait les gens soupçonnés d'être des loups-garous lycanthropie). Au 19ème siècle, on redécouvre ces mythes et on publie des anthologies en allemand, on les rend accessibles. L'archéologie devient importante. On utilise les mythes pour l'interprétation de la psychée humaine (Freud). Goethe et Jung ont utilisé ces mythes. L'Antiquité était importante dans les sciences nouvelles comme le discourt sur la psychée humaine. C'est toujours le corps qui est métamorphosé, pas l'esprit. [...]
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