Poulot débute son chapitre par une citation du ministre de l'intérieur de l'époque Jean-Marie Roland de la Platière (ex-inspecteur des manufactures de Lyon) issue d'une lettre envoyée par cet homme à David. Cette première approche nous montre l'attente d'un musée où toutes les couches sociales pourraient venir sans complexes et profiter des oeuvres que les artistes de ce monde et même les plus insoupçonnés (...)
[...] Ainsi, il ne peut être possible de faire entrer tous les artistes. Seulement, il ne faut pas oublier les artistes marquants bien que leur travail ne soit pas en nombre conséquent et les remplacer par des arts mal employés ou encore les arts étrangers ou dissidents. Poulot met un point d'honneur quant aux nombreux débats qu'il y eut concernant les décisions d'entrée d'œuvres au musée. Il le dit lui-même La légitimité du musée révolutionnaire devient alors d'enrôler les moyens de l'art à des fins neuves d'édification politique et morale Par là, il veut montrer tout les moyens de l'art. [...]
[...] De là, se créé des commissions de récupération dans les pays d'Europe. Cette dernière connait alors des pillages et saisies justifiées (à l'époque) par la bataille contre le recèle des arts. Mais, le revers de la médaille n'est pas loin et comme le dit Poulot : Cette accumulation de richesses ne satisfait pas, cependant, à l'exigence d'un art public dont pourrait s'enorgueillir la grande Nation On se pose alors la question de savoir si : L'éloge de la destination des œuvres d'art, contre le spectacle de collections [ ] Plus tard, ce sont les architectes Durand et Thibault qui tenterons l'expérience de créer un musée thématique sur les évènements de la Révolution ' Malgré tout, il s'entend encore la volonté de mettre la science à la portée des plus petites bourses et une volonté de mimer l'Italie. [...]
[...] Résumé du chapitre VII La justification du musée du livre Musée, Nation, Patrimoine, 1789-1815 de Dominique Poulot Poulot débute son chapitre par une citation du ministre de l'intérieur de l'époque Jean-Marie Roland de la Platière (ex-inspecteur des manufactures de Lyon) issue d'une lettre envoyée par cet homme à David. Cette première approche nous montre l'attente d'un musée où toutes les couches sociales pourraient venir sans complexes et profiter des œuvres que les artistes de ce monde et même les plus insoupçonnés. [...]
[...] Cependant, Poulot explique que ce type de classification nécessiterait une aide professionnel pour l'amateur, point essentiel qui fera échouer l'idée de Lenoir. Cette réflexion d'organisation durera un long moment sans vraiment de solution et en attendant le Louvre sera plus ou moins organisé, et cela par des ressemblances d'œuvres. Dans sa quatrième sous-partie intitulée Le Panthéon des artistes Poulot expose la vague de refus de l'artiste étranger au fait qu' il n'appartient qu'au génie de la liberté d'enfanter des chefs-d'œuvre Sous la Révolution, ce sentiment se mêle aussi à celui d'une révolte générale et d'une envie d'autodafé. [...]
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