Littérature, Belgique, écrivains, Académie Royale, langue française
L'absence d'une frontière naturelle et les conflits entre les néerlandais et les francophones vont faire que les écrivains belges en langue française recherchent leur audience en France.
Vers 1880 il y a eu un mouvement littéraire appelé « La jeune Belgique », l'idée de ce groupe était de créer une littérature autonome de la France. En 1921 on a créé « L'Académie Royale de Langue et Littérature Françaises ».
[...] On parle de la Belgique comme un tour de Babel de nouvelle génération, où l'on parle : flamand, français, allemand, néerlandais et wallon. La littérature belge se divise en 2 : littérature flamande et littérature française. Il y a 2 tendances : Centripète : qui vise à pratiquer une littérature belge de langue française. Centrifuge : qui tient à une littérature française de Belgique. On peut établir une périodisation : Ecrivains francophones qui revendiquent une littérature belge. Ecrivains qui essaient d'occulter leur propre origine et qui veulent vraiment devenir français. [...]
[...] Les poètes symbolistes vont combattre sur 2 fronts : Ils vont s'opposer au mouvement de La jeune Belgique parce qu'ils disent que ses valeurs étaient périmées et qu'il fallait se tourner vers un modèle esthétique plus puissant. Ils participent au mouvement d'autonomisation de la littérature belge. Le symbolisme va consacrer l'autonomie de la poésie. Le 1er manifeste symboliste était de Jean Moréas, qui dit que le symbole n'est que la valeur illustrative d'une idée, c'est-à-dire, que le symbolisme n'invente rien. [...]
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