Culture indienne différente de la culture française :
- Langages différents : « moitié » signifie « homme » ; la périphrase « grands hommes armés » montre bien qu'ils ne connaissent pas le mot « soldat »
- Les indiens ne comprennent pas la conduite des français : répétition du mot « étrange » deux fois (...)
[...] Critique des inégalités entre pauvres et riches à travers le jugement des cannibales. C'est une satire : les Français sont ridiculisés à travers le bons sens des sauvages. Conclusion : Ce récit est un essai qui nous amène à réfléchir sur nous même. On peut en tirer différentes leçons de sagesse sur la misère, la politique ou les étrangers. Montaigne ainsi que les autres Humanistes du XVI° siècle se plaisaient énormément à écrire ce genre de textes critiques et instructifs pour le lecteur et la société. [...]
[...] Ce sont des cannibales comme l'indique le titre du texte. Culture indienne différente de la culture française Langages différents : moitié signifie homme ; la périphrase grands hommes armés montre bien qu'ils ne connaissent pas le mot soldat Les indiens ne comprennent pas la conduite des français : répétition du mot étrange deux fois. III Critique de la société française Un récit orienté Connecteurs logiques pris dans le discours indirect donnent l'impression que ce sont les termes de Montaigne même (et non ceux des cannibales) pour critiquer la société. [...]
[...] Il donne deux précisions entre parenthèses car il veut être le plus précis possible. Détails précis : lieu et date de l'entrevue. Discours indirect montrant qu'il veut rapporter fidèlement ce qu'il a entendu. II Le portrait des indiens Eloge des indiens : mythe du Bon Sauvage Ils sont réfléchis et logiques : discours structuré (connecteurs logiques en premier lieu secondement qui introduisent des arguments). Ils sont solidaires : moitiés (chaque individu est, pour eux, la moitié d'un autre). Ils sont justes : ils ne supportent pas les inégalités être pauvres et riches. [...]
[...] Comment Montaigne remet-il en cause la société française ? I Un témoignage fidèle Le statut du narrateur je (emploi de la première personne du singulier) montre que le narrateur est Montaigne. Il a vécu et vu ce qu'il dit : on le croit plus facilement. En tant qu'essai, le point de vue de ce texte est bien celui de Montaigne qui veut nous transmettre une idée qui lui est chère. Il n'est pas neutre Mots subjectifs : misérable présuppose marri Ils montrent bien la subjectivité du narrateur. [...]
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