Genoux, cailloux, destin, punitions, navires de guerres
Je n'ai pas à être bon
Je n'ai pas à marcher sur mes genoux
Pour une centaine de pas à travers le désert
Je n'ai qu'à laisser l'animal doux
De mon corps aimer ce qu'il aime
Pendant ce temps le monde continue
Pendant ce temps le soleil
Et les cailloux clairs de la pluie
Se déplacent à travers les paysages
Sur les prairies et les arbres profonds
Les montagnes et les rivières
En attendant les oies sauvages
Elevés dans l'air bleu clair
Qui se dirigent de nouveau à la maison
Que l'on soit solitaire ou pas
Le monde s'offre à notre imagination
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