A Paris, en 1666, dans un salon de l'aristocratie dans lequel on trouve très peu de meubles, deux amis, Alceste et Philinte, se querellent. Philinte est habillé à la mode tandis qu'Alceste est vêtu de couleurs plutôt sombres qui rappellent la mode ancienne. Alceste reproche à Philinte d'avoir flatté un homme qu'il connaît à peine.
Philinte se défend en s'appuyant sur les codes de la politesse. Mais Alceste, lui, pense qu'il faut parler avec sincérité au risque de se fâcher avec tout le monde. Philinte lui explique qu'il vaut mieux parler avec politesse et donc avec mensonge pour ne pas se disputer avec autrui et être dans le monde (...)
[...] Cette convocation est due à sa dispute avec Oronte. Il est contraint de partir mais promet à Célimène de revenir le plus vite possible. Acte III : Scène 1 : Les deux marquis, Acaste et Clitandre sont les deux seuls personnages présents sur scène Ils se disputent car chacun prétend être le préféré de Célimène Clitandre propose alors un marché Celui à qui Célimène montrera le plus son amour sera son préféré et l'autre devra s'incliner. Scène 2 : Célimène rentre est scène et montre qu'elle est étonnée de voir les deux marquis. [...]
[...] C'est dans cette scène que se déroule le jeu des portraits Célimène entourée de ses amis ne cessent de critiquer des membres de la Cour comme Cléonte l'extravagant, Géralde le prétentieux ou encore Damis le dédaigneux. Au début Alceste écoute toutes les critiques. Puis, il se met en colère et se dispute avec Célimène. Eliante intervient pour calmer cette querelle. Scène 5 : Basque annonce la venue d'un garde qui veut voir Alceste. Scène Le garde est un garde de la maréchaussée qui est venu annoncer à Alceste que ce dernier est convoquer au tribunal des maréchaux. [...]
[...] Ils les lissent à voix haute. Tous les prétendants de Célimène se rendent alors compte qu'elle les a trompés. Arsinoé n'arrive pas à consoler Alceste comme elle l'aurait souhaité. Elle quitte donc la scène après Oronte et les deux marquis. Alceste dit à Célimène qu'il lui pardonne si elle accepte de fui dans un désert avec lui. Elle refuse et Alceste rompt et compte partir seul. Philinte demande à Eliante sa main, elle accepte. Philinte tente de persuader Alceste de rester à Paris. [...]
[...] Le misanthrope déteste alors encore plus le genre humain et il annonce à Philinte qu'il veut fuir dans un désert et qu'il sera obligé d'emmener Célimène avec lui. Il retourne chez Célimène pour reprendre la conversation interrompue. Scène 2 : Alceste demande à Célimène de choisir entre lui et Oronte qui est aussi présent sur scène. Elle essaye d'échapper à cette discussion. Scène 3 : Elle demande à Eliante de l'aider mais cette dernière lui dit de dire la vérité. Oronte et Alceste insistent, ils veulent savoir lequel elle compte choisir. [...]
[...] Alceste lui répond que le code de politesse n'est qu'hypocrisie et que tous les hommes sont hypocrites. Alceste a un procès et il refuse d'aller voir les juges car il ne veut pas se conformer à l'usage traditionnel. Philinte lui dit alors qu'il est amoureux de Célimène, une véritable langue de serpent. Elle ne cesse de critiquer ses amis. Grâce à ce reproche, Alceste se calme. Scène Oronte, un marquis, rentre en scène et veut qu'Alceste lui donne un avis sur son sonnet. [...]
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