Dom Juan est un aristocrate couvert de dettes et dépendant de Monsieur Dimanche qui est son tailleur. Ils jouissent de leur pouvoir pour exploiter les petites gens même si leur dépendance financière s'accroît. Dom Juan use de grandes civilités étonnement affable/accueillant. Il l'accable de flatteuses marques de considérations il utilise "droit" il en joue (...)
[...] DOM JUAN : Non, je ne vous écoute point si vous n'êtes assis. M. DIMANCHE : Monsieur, je fais ce que vous voulez. Je . DOM JUAN : Parbleu ! Monsieur Dimanche, vous vous portez bien. M. DIMANCHE : Oui, Monsieur, pour vous rendre service. Je suis venu . DOM JUAN : Vous avez un fonds de santé admirable, des lèvres fraîches, un teint vermeil, et des yeux vifs. M. DIMANCHE : Je voudrais bien. DOM JUAN : Comment se porte Madame Dimanche, votre épouse ? M. [...]
[...] Monsieur Dimanche est impuissant à pouvoir faire sa requête. Dom juan monopolise la parole et donne des marques d'intérêt pour toute la famille. A l'époque ce n'était pas bien de parler santé sauf pour les intimes. Dom juan est hypocrite, protecteur et faux. La répétition de l'adjectif petit marque d'affection, comble de l'impertinence. B. Son plaisir à humilier un faible Dom Juan fait souffrir les autres en les humiliant. Il mentionne le premier sa dette. Il se joue de Monsieur Dimanche car il lui tend la main. [...]
[...] Ils jouissent de leur pouvoir pour exploiter les petites gens même si leur dépendance financière s'accroît. Dom juan use de grandes civilités étonnement affable/accueillant. Il l'accable de flatteuses marques de considérations il utilise droit il en joue. Il endort le courage de Monsieur Dimanche avec son flot de paroles. On ne s'assoit que devant son égal. Embarras de monsieur dimanche, hiérarchie dans ce qu'on utilisait pour s'asseoir. Règlement de savoir vivre. Il est traité d'égal à égal avec Dom Juan. [...]
[...] DOM JUAN : Oh çà, Monsieur Dimanche, sans façon, voulez-vous souper avec moi ? M. DIMANCHE : Non, Monsieur, il faut que je m'en retourne tout à l'heure. Je . DOM JUAN, se levant: Allons, vite un flambeau pour conduire M. Dimanche, et que quatre ou cinq de mes gens prennent des mousquetons pour l'escorter. M. DIMANCHE, se levant de même : Monsieur, il n'est pas nécessaire, et je m'en irai bien tout seul. Mais . Sganarelle ôte les siéges promptement. DOM JUAN: Comment ? [...]
[...] Dimanche dans une antichambre, et je vous ferai connaître les gens. M. DIMANCHE : Monsieur, cela n'est rien. DOM JUAN : Comment ? vous dire que je n'y suis pas, à M. Dimanche, au meilleur de mes amis ? M. DIMANCHE : Monsieur, je suis votre serviteur. J'étais venu. DOM JUAN : Allons vite, un siège pour M. Dimanche. M. DIMANCHE : Monsieur, je suis bien comme cela. DOM JUAN : Point, point, je veux que vous soyez assis contre moi. [...]
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