I) Les connecteurs logiques (ou mots de liaison)
Ils sont essentiels à la structure et à la cohérence du paragraphe mais aussi, à plus grande échelle, à la composition : ils structurent la pensée, articulent les éléments entre eux en mettant en avant la relation logique qu'ils entretiennent (cause, conséquence, opposition, concession, parallèle, addition ou surenchérissement) (...)
[...] De plus, nous pouvons relever de nombreuses expansions autour du nom, syntaxe caractéristique de la description (Argt comme, à la ligne 13, l'adjectif épithète tendre à la ligne 20, un complément du nom de paille et des subordonnées relatives, à la ligne 16 qui semblait immobile dans toute la longueur de sa sinuosité (ex qui viennent donner une image plus détaillée, plus précise, afin de nous permettre de mieux imaginer la scène. Enfin, nous pouvons également constater la présence de nombre de notations spatiales (Argt comme à la ligne 14 en face (ex qui indiquent que la description est organisée selon un point de vue et facilitent également la représentation. Ce texte se présente donc comme une description extrêmement précise et ordonnée d'une scène bucolique. [...]
[...] Les exemples peuvent être des exemples personnels, des anecdotes, des images/comparaisons, des fables/mythes, des exemples historiques, des statistiques, des exemples littéraires/artistiques, des citations Une analyse de l'exemple en commentaire composé afin de montrer en quoi il soutient l'ID. une conclusion (qui peut également servir de transition avec le paragraphe suivant). Un exemple de paragraphe explicatif : le mot génération. Un exemple de paragraphe de commentaire composé : texte de G. Flaubert, L'Éducation Sentimentale. Il s'agit d'un texte descriptif (ID). [...]
[...] Comment rédiger un paragraphe ? Les connecteurs logiques (ou mots de liaison) Ils sont essentiels à la structure et à la cohérence du paragraphe mais aussi, à plus grande échelle, à la composition : ils structurent la pensée, articulent les éléments entre eux en mettant en avant la relation logique qu'ils entretiennent (cause, conséquence, opposition, concession, parallèle, addition ou surenchérissement). Il ne faut pas négliger non plus, parallèlement à leur emploi, les propositions subordonnées circonstancielles et les différentes conjonctions de subordination qui les introduisent. [...]
[...] Ainsi, on tend à supprimer l'emploi des verbes être, avoir, faire et de la locution il y a pour les remplacer par des synonymes plus exacts. On essaye de développer avec des adjectifs bien choisis et des propositions subordonnées relatives et l'on cherche à remplacer les propositions simplement coordonnées ou juxtaposées par des propositions subordonnées (ce dernier point n'étant valable que si l'on possède une bonne maîtrise de la syntaxe mieux vaut en effet des propositions coordonnées justes qu'une proposition subordonnée sans principale). [...]
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