Juin 1880. Georges Duroy, sous-officier rendu à la vie civile, est un beau jeune homme peu scrupuleux. Nouvellement employé aux chemins de fer du nord, il déambule sur les boulevards parisiens, en quête de fortune et de réussite, mais surtout d'une passade amoureuse.
Il rencontre un ancien camarade de régiment, Charles Forestier, rédacteur politique au journal <em>La Vie française</em>, qui le convainc de se lancer dans une carrière de journaliste, ce qui lui ouvrira les portes de la bourgeoisie parisienne. Il l'invite à un dîner où il rencontrera M. Walter, le patron du journal (...)
[...] Georges Duroy, sous-officier rendu à la vie civile, est un beau jeune homme peu scrupuleux. Nouvellement employé aux chemins de fer du nord, il déambule sur les boulevards parisiens, en quête de fortune et de réussite, mais surtout d'une passade amoureuse. Il rencontre un ancien camarade de régiment, Charles Forestier, rédacteur politique au journal La Vie française qui le convainc de se lancer dans une carrière de journaliste, ce qui lui ouvrira les portes de la bourgeoisie parisienne. Il l'invite à un dîner où il rencontrera M. [...]
[...] Deuxième Partie : la conquête du monde et de Paris Quelques mois après, Madeleine accepte d'épouser Bel-Ami qui s'engage, de son côté, à rompre avec sa maîtresse Mme de Marelle. Ils choisissent de passer leur lune de miel en Normandie, terre natale de Duroy où ses parents vivent encore. Rêvant de noblesse, elle persuade Georges de signer ses articles Du Roy ou Du Roy de Cantel Non content d'avoir Madeleine, Georges remplace Forestier au journal et devient rédacteur politique. Ils écrivent ensemble ses articles. [...]
[...] Il se fait entretenir par Mme de Marelle dont il devient l'amant. Offensé par son ami Forestier, c'est ensuite Madeleine Forestier qu'il tente de séduire et lui déclare son amour. Mais celle-ci le tient à distance et lui explique que si elle est disposée à être son amie, jamais elle ne sera sa maîtresse. Sensible pourtant à l'admiration que lui porte le jeune homme, elle lui conseille de rendre visite à la femme de son directeur, Mme Walter, qui l'apprécie beaucoup Duroy s'exécute, se rend chez elle et la séduit par son esprit. [...]
[...] Faisant preuve d'opportunisme, Bel-Ami assure Madeleine de son amitié en l'absence de son mari. Georges Duroy signe aux Échos plusieurs articles politiques engagés qui lui valent quelques inimitiés. Suite à l'un de ces articles, il est diffamé par le rédacteur d'un journal concurrent, La Plume L'honneur de son journal étant en jeu, Walter, son directeur, le pousse à provoquer l'offenseur en duel. Angoissé à l'idée de mourir, Duroy ne ferme pas l'œil de la nuit. Le lendemain, à l'aube, il se rend au bois du Vésinet pour le duel. [...]
[...] Avoir pris sa place ne lui suffit pas, il éprouve vis-à-vis du défunt une jalousie obsessionnelle. Georges découvre alors que le député Laroche-Mathieu mène une cour très assidue auprès de sa femme. Il en éprouve une vive jalousie et décide de se venger. Au cours d'un dîner chez les Walter, Bel-Ami reconquiert Mme de Marelle, tout en montrant un intérêt certain pour Suzanne, la fille des Walter. Le séducteur décide alors de reprendre sa liaison avec Mme de Marelle et de s'attirer les faveurs de Mme de Walter qui lui apportera, à n'en pas douter, de nombreux privilèges. [...]
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