La Maison Tellier, Guy de Maupassant, Papa de Simon, description de la rivière, surnoms donnés aux enfants
L'auteur décrit la nature comme un endroit paisible où Simon peut retrouver du calme et s'imaginer des choses. Mais l'auteur veut nous dire aussi lorsqu'il emploie « les accalmies d'une tempête passent tout à coup de grandes rafales de vent » que la nature n'est pas toujours un havre de paix et peut changer en un rien de temps. Il montre aussi sa pureté lorsqu'il évoque que « l'eau brillait comme un miroir ».
[...] Relevez des passages où il porte des jugements de valeur. Le narrateur prend parti lorsqu'il dit Et ces polissons dont les pères étaient pour la plupart méchants, ivrognes, voleurs et durs à leurs femmes, se bousculaient en se serrant de plus en plus comme si eux les légitimes, eussent voulus étouffer dans une pression celui qui était hors la loi. car il pense que les pères des camarades de Simon ne sont que des voleurs, il les rabaisse, il les insulte et défend Simon car même s'il n'a pas de père ; il ne pourra pas être aussi violant que ceux de ses camarades. [...]
[...] L'auteur emploie les mots galopins, gars, enfants malins aux yeux cruels pour décrire les camarades de Simon et aussi fils des champs, sauvages, bourreaux Ces garçons essaient de provoquer Simon, ils cherchent la bagarre ou la violence même s'ils sont plus âgés que Simon. Le mot ennemis Ce sont des mots assez fort pour des enfants de quatorze ans. Ils s'en prennent au plus faible d'entre eux ce besoin cruel qui pousse les poules d'une basse-cour à achever l'une d'entre elles le prouve bien. Il y a un crescendo : les enfants sont de plus en plus cruels et méchants envers Simon. Montrez que le narrateur prend parti. [...]
[...] L'auteur décrit la nature comme un endroit paisible où Simon peut retrouver du calme et s'imaginer des choses. Mais l'auteur veut nous dire aussi lorsqu'il emploie les accalmies d'une tempête passent tout à coup de grandes rafales de vent que la nature n'est pas toujours un havre de paix et peut changer en un rien de temps. Il montre aussi sa pureté lorsqu'il évoque que l'eau brillait comme un miroir La nature est protectrice. La nature est accueillante, elle communique la beauté. Elle est douce, compréhensive. L'auteur fait une personnification, il compare la rivière à une maman. [...]
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