Enfin, ce document ne comporte que les expressions comprenant un nom propre (de la mythologie, de dates ou de fêtes religieuses, de lieux géographiques ou historiques, de prénoms ou de personnages de la littérature ou de jurons dérivés de nom propre). Elles associent l'évolution de la langue française et de sa perception au fur et à mesure des époques au service d'un nom dont l'histoire l'ayant influencée ne peut, très souvent, que renforcer la curiosité et le plaisir d'approfondir notre langue vernaculaire (...)
[...] -Étymologie Cette expression est née au XIXe siècle et provient d'un jeu de mot basé sur la rue Michel-le-Comte dans le quartier du Marais à Paris. Cette rue a ainsi été nommée en 1806 et la locution est donc postérieure à cette date. Les conducteurs de fiacre qui venaient d'y déposer leur client, une fois la course payée, leur signifiaient ainsi avoir le montant nécessaire. La popularisation de cette expression aurait été d'autant plus facile que de nombreux journaux possédaient leur siège rue Réaumur, sise à proximité de la rue Michel-le-Comte, les journalistes en assurant verbalement la diffusion. [...]
[...] Les biscuits LU sont eux fabriqués depuis le milieu du XIXe siècle par la société Lefèvre-Utile dont ils sont l'acronyme. Leur qualificatif de ‘petits beurres' a ainsi permis qu'ils soient vus comme ‘bourrés' de beurre. Ceci explique le rapprochement sous forme de plaisanterie avec le terme beurré issu de bourré, l'expression se résumant alors à ‘beurré comme un petit-beurre de marque LU'. Bon sang ! Palsambleu ! : -Signification Interjection, ancien juron. -Étymologie Palsambleu est une altération du juron du XIVe siècle par le sang Dieu ! [...]
[...] Et moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Au contraire, si quelqu'un te gifle sur la joue droite, tends-lui aussi l'autre. À qui veut te mener devant le juge pour prendre ta tunique, laisse aussi ton manteau. Si quelqu'un te force à faire mille pas, fais-en deux mille avec lui. À qui te demande, donne ; à qui veut t'emprunter, ne tourne pas le dos. En France, il a fallu attendre 1981 et l'abolition de la peine de mort pour voir disparaître une des dernières applications de la loi du talion. [...]
[...] Si bien que lorsqu'ils quittaient la cité, ils étaient si choqués qu'ils avaient l'air de revenir de Pontoise. - en 1634, une grave épidémie de peste décima la majorité des habitants si bien que les survivants étaient troublés d'avoir été épargnés et ne sachant comment expliquer leur chance, paraissaient ahuris quand ils parlaient. - entre 1652 et 1753, à des périodes historiques et sous des régimes différents, le parlement de Paris fut exilé trois fois à Pontoise. Lorsque les dirigeants exilés en revenaient, ils étaient excessivement interrogés sur les décisions qui y avaient été prises au point d'en être déconcertés. [...]
[...] Cela fait du bruit dans Landerneau Coiffer Sainte Catherine D De France et de Navarre E En voiture, Simone ! Envoyer chez Plumeau Épée de Damoclès Être Gros-Jean comme devant F Faire (Bâtir) des châteaux en Espagne Faire une réponse de Normand Fier comme Artaban I Il est fin comme Gribouille Il n'y a pas loin du Capitole à la Roche Tarpéïenne J Jouer l'Arlésienne, les Arlésiennes L L'abbaye de Monte-à-Regret La femme de César ne doit pas être soupçonnée La loi du talion / Œil pour œil, dent pour dent Le bran de Judas N Ne connaître ni d'Ève ni d'Adam Ne fais pas le Jacques O Ouvrir la boîte de Pandore P Pas besoin de sortir de Saint-Cyr ou de Polytechnique pour . [...]
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